Bonsoir à tou(te)s

Bref, quitte à le répéter je ne cause que de la flore : les fonds et les avant-plan, quand on tire dans la garrigue au ras du sol, (pour avoir le max du sujet net), il faut les apprivoiser car ils sont incontournables. Ca impose d'ouvrir, de tirer à 1.0m maxi et d'avoir des sacs poubelles pour poser au sol les jours de pluie .

Les grands sujets (les himantoglossum) c'est un peu pareil, mais là, il faut jouer avec le fond lointain et ça réduit sérieusement le nombre des sujets qui peuvent être mis en boite. Je n'en ai postés que deux cette année, et pourtant, ce sont surement les grandes orchidées les plus communes ici.

Je ne m'interdit pas (comme dans ma dernière série dur les pyramidalis), de récupérer un rameau -dans le cas c'était des basses branches fanées et jaunes de grande férule- et de l'accrocher au sac pour le reste de la ballade. Pour certains stacks, j'ai aussi utilisé un bout de toile (nappe) jaune et verte, mais il faut la poser à plat, un peu en biais en chiffonnant sinon l'effet est dégueu (trop de contraste). Mon sac à PMPH (petit matériel photo habituel) m'a& servi de fond pour quelques tirs de diablotin durant l'hiver 2012/13

J'ai donné ma méthode pour un 100mm dans les Corbières, et, Denis a raison, avec un 180 dans les Alpes ce doit être différent.

Pour les insectes, je pratique comme pour la flore: je billebaude sans pot de confiture ou morue séchée au fond des poches. Et là, c'est vraiment le coup de chance comme ici : Canon EF 100 f/2.8 L IS USM Mon premier ! mais à y réfléchir, c'est une méthode d'approche qui a le mérite de vous faire rester discret.