Aucun doute sur la facette mercantile de Picasso et consorts. Mais quand on a ni plus ni moins que révolutionné l'art (excusez du peu!) on peut se permettre quelques enfantillages. D'ailleurs, je pense qu'il y a eu par le passé une phase où le marché de l'art était relativement "sain". Ensuite, c'est devenu un marché comme les autres, avec ses vraies passions, ses investisseurs et ses spéculateurs. Tout comme celui de la photo, dans une bien moindre mesure, évidemment.