Apres des essais personnels, confirmés par d’autres, je suis certain que la prise en compte des collimateurs ne se limite pas à leur représentation dans le viseur, mais déborde largement jusqu’à avoir leur surface active quadruplée par rapport à cette même représentation.
Il est donc normal que l’AF se fixe sur le premier obstacle rencontré dans le champ du collimateur sans que ce soit obligatoirement la partie centrale de ce dernier.
Dans le cas d’un portrait, le nez se trouve sur le chemin avant les yeux et si l’éclairage ambiant le permet l’AF se verrouillera sur ce dernier.
Dans le cas des mires à 45°, essai préconisé sur se forum, c’est la même opération qui se fait, suivant l’éclairage et l’ouverture maximale de l’objectif, la partie basse active mais non représenté dans le tracé du collimateur prendra ou ne prendra pas l’information et donnera des positionnements d’AF qui peuvent faire croire à un défaut du boîtier ou de l’objectif.
Ceci explique que des couples boîtiers objectifs parfaits chez certain, peuvent paraître mal assortis chez d’autres, les conditions de tests n’étant pas standardisées, chacun faisant sa petite soupe.
C’est oublier, que pour être parlant, les tests et analyses doivent être fait suivant un protocole connu pour son efficacité et pour pouvoir être reproduit dans le temps afin de pouvoir faire des comparaisons avec un des étalons pour respecter des tolérances fixées par un cahier des charges établi par le constructeur.
Si je fais ce post, c’est que je suis surpris de voir que des nouveaux possesseurs de matériel lui font subir des tests avant même d’avoir utilisé sérieusement ce dernier dans une utilisation normale et dans une durée raisonnable.
Le résultat est une inquiétude et même une panique absolument injustifiée et des appels à l'aide sans consulter les posts précédents.
Mon analyse et elle raisonnable ou est-ce moi qui suis à coté de la plaque ?