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Optimus Membre | 21/03/2010 | 13 | 20/05/2010 21h01 | 49 | EOS 450D | France | Homme | Canon EFS 18-55 mm, Canon EF 50mm, Samyang 8mm f/3.5 Fisheye, SIGMA 150mm 1:2,8 MACRO | ||||||||
optionbinaire Nouvel utilisateur | 20/01/2012 | 0 | 21/01/2012 02h49 | 30 January 1987 | 38 | Canon EOS 600D | paris | La Bourse de New York a terminé sans direction vendredi, le marché réagissant aux nouvelles en demi-teinte de grosses entreprises américaines et toujours dans l'attente d'un accord en Grèce: le Dow Jones a progressé de 0,76% mais le Nasdaq s'est replié de 0,06%. Selon des chiffres provisoires à la clôture, le Dow Jones Industrial Average a pris 96,50 points à 12.720,48 points, tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, a cédé 1,63 point à 2.786,70 points. L'indice élargi Standard and Poor's 500 a repris 0,07% (0,88 point) à 1.315,38 points, après une ouverture en légère baisse. Wall Street avait terminé jeudi à son plus haut depuis six mois à la faveur de bons résultats d'entreprise et d'une série d'indicateurs économiques rassurants. Le Dow Jones avait pris 0,36% à 12.623,98 points et le Nasdaq 0,67% à 2.788,33 points. Entre-temps, plusieurs grosses valeurs technologiques, particulièrement Google, ont publié des résultats trimestriels moins solides qu'attendu. "On a eu quelques signaux mitigés du côté des publications de résultats", a confirmé Evariste Lefeuvre, de Natixis. "Cela vient légitimer un atterrissage en douceur" d'une semaine qu'il estime "plutôt bonne". De nombreux gestionnaires ont décidé de rester à l’écart des banques, trop risquées. Oddo AM voit au contraire dans leur descente aux enfers une opportunité à saisir en Bourse. Voici un nouveau fonds qui ne passera pas inaperçu. Oddo AM lance Oddo European Banks, spécialement conçu et géré pour tirer parti, en Bourse, de la situation délicate dans laquelle se trouvent aujourd’hui les banques européennes. «Est-ce un acte de foi? De l’inconscience? Sommes- nous téméraires? Non, nous sommes rationnels et nous avons fait un travail analytique pour y voir clair, s’est justifié Thierry Deheuvels, le directeur général délégué d’Oddo AM, qui revendique surtout une approche pragmatique. Le gérant du fonds, Alain Dupuis, pointe du doigt les craintes parfois exagérées des marchés sur ce secteur. «Si l’on applique des décotes sur les dettes souveraines détenues par les banques, les pertes seraient importantes, mais l’impact sur les ratios de solvabilité serait limité», remarque-t-il. Les banques ont en effet réduit le poids des emprunts d’États dans leurs bilans: les engagements sur l’Italie ont chuté de 20 % entre juin et septembre. Autre bon point: les établissements bancaires ont augmenté de près de 400 milliards d’euros leurs fonds propres depuis 2008. «La solvabilité est en amélioration constante. Et avec la mise en place de mesures non conventionnelles, par la BCE et l’Europe, la situation devrait se redresser», prévoit Alain Dupuis. Quant à la rentabilité, elle pourrait être plus soutenue que ne le prévoient les marchés «grâce à la capacité des banques à contrôler leurs prix et leurs coûts». Miser sur les banques suisses, nordiques et asiatiques D’ailleurs, si certaines ont renoncé à verser un dividende, comme la Société Générale, d’autres ont encore des distributions généreuses: le rendement de Natixis ou Santander dépasse les 10%. Tout cela sur fonds de valorisation très attractive. Les banques se paient 6,7 fois leurs bénéfices 2012, très en dessous de leur moyenne historique (10 fois). Mais il ne s’agit pas seulement d’investir sur les valeurs bancaires qui ont payé le plus large tribut à la crise (avec en ligne de mire BNP Paribas, Natixis, ou Barclays). Pour s’émanciper de la zone euro, promise au marasme économique, Alain Dupuis s’intéresse aussi aux banques des pays nordiques et baltes (Swedbank, Nordea…), ou exposées à l’Amérique latine -comme Santander, BBVA- ou à l’Asie, comme HSBC. Il mise aussi sur des établissements moins sensibles à la conjoncture, comme UBS ou Credit suisse. Les banques suisses, nordiques et asiatiques ont ses faveurs aussi pour minimiser les risques de financement. Le concept saura-t-il convaincre des investisseurs plus prudents aujourd’hui que jamais, et qui ne manifestent guère l’envie de revenir en Bourse? En tous cas, de nombreux gestionnaires avouent, eux, rester prudents sur le secteur, à l’instar de Jean-Marie Mercadal, directeur général adjoint en charge des gestions chez Ofi AM, qui juge l’incertitude trop grande sur le sort des banques, et la volatilité de leurs cours en Bourse trop forte. "Avec un marché relativement en hausse vers la fin de la journée, le Nasdaq est toujours en retrait, tiré à la baisse par Google", a constaté Marc Pado, de Cantor Fitzgerald quelques minutes avant la fin de la séance. "Ce fut une séance plutôt calme", a-t-il résumé, "les marchés se (préparent) à accueillir les nouvelles de Grèce" et notamment de la restructuration de la dette du pays. Malgré la publication de résultats dans la matinée de grosses entreprises avec notamment General Electric, "le marché est toujours focalisé sur cela", a-t-il ajouté. Paris n'a pas connu les mêmes frayeurs qu'au tour précédent face à Locminé (2-1). Mais il devra encore patienter pour vraiment briller dans cette Coupe de France qui lui a tant souri par le passé. Opposé à un autre club de CFA 2, Sablé-sur-Sarthe, les joueurs de Carlo Ancelotti ont dû attendre un but de Kevin Gameiro... entaché d'une position de hors-jeu de Ménez (65e) pour anéantir les espoirs les plus fous des protégés d'Olivier Pignolet. A 2-0, les Sarthois ont logiquement abdiqué, laissant le PSG tranquillement dérouler. L'histoire retiendra toutefois que jusqu'au but du break inscrit par l'ancien Lorientais, les amateurs avaient plutôt bien résisté aux assauts parisiens. Pastore touché Dans un MM Arena plein à craquer, ce qui n'était plus arrivé depuis... son inauguration, le large succès du club de la capitale n'en reste pas moins mérité. Le seul point noir de la soirée concerne Javier Pastore, remplacé dès la 27e minute en se tenant la cuisse gauche. A première vue, l'Argentin pourrait souffrir d'un claquage ce qui signifierait quelques semaines d'absence. A l'image de son influence limitée depuis quelques mois, il est toutefois difficile d'affirmer que son absence ait contrarié les desseins parisiens. Depuis le début de la saison, la vraie star du PSG, c'est Nene. Le Brésilien l'a encore démontré en obtenant le penalty de l'ouverture du score qu'il a lui-même transformé (36e). Passeur décisif sur le troisième but parisien, il a ensuite mis un point d'honneur à parachever le succès du leader de Ligue 1 sur une ouverture d'Hoarau (90e+1). La Grèce semblait sur le point vendredi soir de boucler rapidement un accord avec ses banquiers pour la restructuration volontaire de sa dette, censé lever la pression sur la zone euro, laquelle a été encouragée par l'adoption d'un vaste plan de libéralisation en Italie. Alors que l'attente se poursuivait après plus d'une semaine de discussions serrées à Athènes, en lien avec Bruxelles, Washington, Berlin et Paris, la plupart des médias grecs, alimentés en fuites diverses, estimaient que les deux parties étaient à deux doigts d'un accord-cadre fixant les modalités d'effacement de 100 milliards de dette grecque détenue par les créanciers privés. Les investisseurs ont également accueilli avec attention la publication dans la matinée des ventes de logements anciens aux Etats-Unis qui ont progressé en décembre pour le troisième mois d'affilée, mieux que prévu par les analystes. Du côté des valeurs, les réactions aux résultats d'entreprise jeudi et vendredi étaient mitigés, malgré une saison de publication jusque-là plutôt prometteuse. Au total, sur les 15 entreprises couvertes par l'AFP depuis le 9 janvier, 10 affichaient des bénéfices trimestriels supérieurs aux attentes, une était conforme aux prévisions, et 4 ont déçu. Le conglomérat américain General Electric, qui a vu son bénéfice net annuel progresser en 2011 mais dont le chiffre d'affaires a déçu, a terminé inchangé à 19,15 dollars, après avoir regagné le terrain perdu dans la matinée. Le groupe américain de cartes de crédit American Express (Amex) perdait 1,79% à 50,04 dollars malgré l'annonce la veille d'un bénéfice en hausse en 2011 et au quatrième trimestre, les investisseurs se concentrant sur un chiffre d'affaires décevant. Les performances des valeurs technologiques jeudi soir étaient également mitigées. Un autre joueur parisien s'est également offert un doublé : Kévin Gameiro dont on attendait beaucoup pour sa première titularisation sous l'ère Ancelotti. Au-delà des statistiques -et contrairement à ce laisse penser son deuxième but-, ses appels n'ont pas toujours été compris par les joueurs chargés de l'épauler, et notamment Ménez. Si Paris a eu des occasions de creuser l'écart bien plus tôt, il a trop souvent pêché dans le dernier geste -par excès d'invidualisme ?- avant de tomber sur un Sybille qui aura retardé l'échéance tant qu'il a pu. A l'image d'une nouvelle entame de match compliquée, symbolisée par une mésentente entre Sakho et Camara, Paris peut encore s'améliorer. Mais avec trois victoires en autant de rencontres depuis qu'il a succédé à Antoine Kombouaré, Ancelotti avait des raisons d'arborer un large sourire au coup de sifflet final. Le groupe internet Google était lourdement sanctionné par le marché vendredi, entraînant l'indice Nasdaq dans sa chute. Son titre chutait de 8,38% à 586,00 dollars, les investisseurs se montrant déçus de la performance du quatrième trimestre. Microsoft s'adjugeait de 5,65% à 29,71 dollars. La veille, le groupe informatique américain avait publié des résultats légèrement supérieurs aux attentes. Le géant américain de l'informatique IBM gagnait 4,43% à 188,52 dollars après la publication jeudi d'un bénéfice net en hausse de 7% en 2011. Le numéro un mondial des microprocesseurs, Intel, affichait une hausse de 2,93% à 26,38 dollars après la publication jeudi d'un bénéfice net annuel "record". Le marché obligataire reculait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans montait à 2,028% contre 1,972% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,101% contre 3,039%. Wall Street finit stable après des résultats d'entreprises en demi-teinte EXPERTISE BOURSE - Intel vient de publier des résultats solides. Le titre est raisonnablement valorisé. Il offre une opportunité de diversification des portefeuilles sur Nasdaq, le marché américain des valeurs technologiques. Le fait - Le numéro un mondial des microprocesseurs vient d’annoncer des performances trimestrielles supérieures aux attentes des analystes. Le chiffre d’affaires annuel ressort en hausse de 24 % à 54 milliards de dollars et le bénéfice net en progression de 13 % à 12,9 miliards. La marge brute est remarquable puisqu’elle se situe à 61 % du chiffre d’affaires. De toute évidence, le retard intervenu dans le lancement du nouveau processeurs Sandy Bridge n’a pas pesé sur le résultat. L’analyse - Ces performances confirment la solidité du modèle d’Intel et sa capacité de croissance sur les nouveaux équipements électroniques (tablettes, smart phones, etc…) à un moment où la croissance des ventes de PC commencent à ralentir. Le maintien des marges montre que les coûts de production sont maîtrisés et que le groupe parvient à se placer sur les secteurs d’activité à plus forte valeur ajoutée. Pour le trimestre en cours, les dirigeants tablent prudemment sur un chiffre d’affaires situé autour de 14 milliards de dollars, avec une marge opérationnelle comprise entre 61 et 62 %. La croissance est faible en apparence (autour de 4%), mais elle est robuste. Elle intervient surtout après un exercice 2010 historique en terme de résultats! A 25,63 dollars, le titre est proche des plus hauts depuis fin 2007, marquant une progression de 22 % sur les 12 derniers mois. En dépit de cette hausse, il reste très raisonnablement valorisé autour de 10,8 fois les profits attendus pour 2012. A ce niveau, Intel offre une bonne opportunité de diversification pour des investisseurs qui cherchent à ouvrir leur portefeuille à des valeurs technologiques américaines de tout premier plan. | Femme | Canon EOS 600D | ||||||
options Nouvel utilisateur | 05/04/2012 | 0 | 06/04/2012 00h50 | 17 April 1983 | 42 | nikkon | paris | Le CAC 40, après avoir lourdement chuté la veille, a retrouvé quelques couleurs. Il a grimpé de 0,19% à 3319,81 points. La pression grimpe sur les taux français. A la veille du week-end de Pâques, les marchés ont longuement hésité sur la direction à prendre. Après avoir changé de cap à de nombreuses reprises, le CAC 40 a finalement avancé de 0,19% à 3319,81 points. La veille, il avait plongé de 2,74%. Les autres grandes places européennes ont terminé en ordre dispersé après avoir tergiversé pendant toute la séance. À Londres, le Footsie a avancé de 0,35%, tandis qu’à Francfort le Dax a lâché 0,13%. L’Euro Stoxx a cédé 0,20%. Wall Street était également en panne de conviction. En séance, le Dow reculait de 0,07% tandis que Nasdaq grappillait 0,11%. Les marchés ont tourné au ralenti. A Paris, environ 3 milliards d’euros ont changé de mains sur les grandes valeurs de la cote. Bon nombre d’opérateurs ont déjà déserté les salles de marchés. La plupart des grandes Bourses mondiales seront fermées vendredi. Et si New York ouvrira ses porte lundi, Paris gardera les siennes closes. L’emploi américain se redresse L’Espagne restait plus que jamais dans le viseur du marché, et les taux d’emprunts du pays se tendaient très nettement sur le marché obligataire. Le rendement de l’obligation espagnole à 10 ans grimpait ainsi à près de 6%. La présentation d’un budget 2012 d’une grande austérité n’a pas convaincu les marchés et les investisseurs doutent de plus en plus de la capacité du pays à rétablir ses finances publiques. Partout en Europe, la pression grimpait d’un cran sur le marché de la dette publique, y compris en France. Les rendements ont en effet légèrement monté lors de l’adjudication de dette publique réalisée par l’Agence France Trésor dans la matinée. Pour Alexandre Baradez, analyste chez Saxo Banque, «le violent accès de faiblesse des marchés cette semaine est essentiellement lié aux découplage de plus en plus net entre les économies de la zone euro qui ne parviennent toujours pas à relever la tête et les États-Unis qui semblent sur le chemin de la reprise». Et pour lui, «la chute de plus de 2% des Bourses européennes mercredi a rappelé combien la zone euro reste fragile». Dans le même temps, l’économie américaine multiplie les signes de rétablissement. Aux États-Unis, les nouvelles inscriptions au chômage ont poursuivi leur baisse la semaine dernière, atteignant leur niveau le plus bas depuis quatre ans. Mais, le principal temps fort de la semaine sur le plan macroéconomique est attendu vendredi avec la publication des statistiques mensuels du chômage aux États-Unis. «Ce rendez-vous manqué pour les marchés est une source importante de volatilité et explique en grande partie les hésitations des Bourses mondiales en cette veille de vendredi Saint», expliquait Alexandre Baradez, analyste chez Saxo Banque Bon nombre de professionnels relativisaient la chute des indices au cours des derniers jours: «Après la remontée du premier trimestre, liée notamment aux efforts pour apaiser la crise de la zone euro, les marchés sont à la recherche d’un nouveau souffle», estimait ainsi Marc Touati, stratège à la compagnie financière Assya. Les banques sous pression Par son expérience et son palmarès, Jo-Wilfried Tsonga doit montrer à l'Américain qui est le patron dès le début du match. Remplaçant de Mardy Fish, Ryan Harrison dispute son premier match à enjeu sous la bannière étoilée. Même pour les plus audacieux, l'honneur peut virer au traumatisme. « J'ai été dans sa peau il y a quelques années. Je sais que cela n'est pas évident à gérer émotionnellement. Cela pompe beaucoup d'énergie. Je ne sais pas comment il va le gérer. Mais s'il pouvait le gérer le moins bien possible ...», sourit le Manceau, détendu en conférence de presse avant d'affronter pour la première fois le 66e mondial. Il n'a pas oublié ses débuts en Roumanie en 2008. « Cela peut toujours être impressionnant, du moins déstabilisant. Il va avoir le public contre lui. Pour l'avoir vécu lors de ma première sélection, ce n'est pas évident. J'avais joué contre Andrei Pavel (Ndlr : victoire 6-7, 6-4, 6-4, 6-4), un joueur assez charismatique dans son pays, j'avais bien compris que ce serait compliqué dès son entrée sur le court. » Si le central du Monte-Carlo Country Club n'affiche pas complet, JWT voit toujours le verre à moitié plein : «L'important n'est pas le nombre de spectateurs, mais le coeur qu'ils vont y mettre. » Même la terre battue ne l'affole pas : « Je me sens bien, peut-être mieux que jamais. Mais sur terre battue, j'ai toujours l'impression d'être mieux que jamais », raconte en souriant le Manceau. Rien ne peut altérer son positivisme. C'est la force d'un leader. EXPERTISE BOURSE - Les investisseurs se rendent compte que les problèmes de la zone euro sont toujours là. La violence avec laquelle la baisse a pris le dessus en Bourse montre que ce mouvement est le résultat d’un important changement dans la psychologie des opérateurs. Alors qu’au cours de ces derniers mois, la moindre baisse constituait une bon prétexte de partir à la chasse aux bonnes affaires, le repli actuel est considéré comme le signe d’une véritable remontée des risques. S’agissant de la perception du risque, il ne fait aucun doute que la dégradation de la situation budgétaire de l’Espagne a joué un rôle important dans le retournement de la psychologie des opérateurs. Au lendemain du sauvetage de la Grèce, personne n’a eu la faiblesse de penser que tous les problèmes seraient réglés, mais tout le monde s’attendait à un répit. Fragilité espagnole L’échec, hier, de l’émission obligataire de l’Espagne a cristalisé toutes les craintes. Les taux d’intérêt se sont tendus dans tout les pays du sud de la zone euro. Ce matin la France a réussi à lever 4,32 milliards d’euros sans grande difficulté, mais le taux d’intérêt s’est tendu de 5 points de base en quelques heures ce qui montre une inquiétude grandissante dans les rangs des opérateurs. Les taux français à 10 ans se traitent aujourd’hui à 2,98%. Le marché est aussi privé de l’important soutien que constitue l’apport de liquiditiés permanente de la part des banques centrales de part et d’autre de l’Atlantique. Si la politique monétaire de la Fed reste très accommodante, elle a laissé entendre qu’il n’était pas question de mettre en place un nouveau plan de relance et d’injection de liquidités. En Europe, la BCE doit faire face à la forte résistance des représentants allemands vis-à-vis d’une nouvelle injection de liquidités. Les sentiment des experts du Figaro Bourse: nous ne sommes pas en train de revenir aux pires heures de crise grecque, mais la baisse est prise très au sérieux par les investisseurs qui sont plus enclins à sécuriser les gains acquis depuis novembre plutôt qu’à repartir à l’achat. Horizon d’investissement: le printemps et l’été seront agités sur les marchés. Profil d’investisseurs: spéculateurs. A Paris les valeurs bancaires restaient sous pression. BNP Paribas a reculé de 0,95%, Crédit Agricole de 1,98% et Société Générale de 0,74%. EDF a perdu 2,09% alors que la prise de contrôle d’Edison par l’électricien a subi un nouveau revers. Le gendarme boursier italien, la Consob, a rejeté le prix auquel le Français voulait racheter les parts des actionnaires minoritaires de la société italienne. A l’inverse de la tendance, LVMH progressait fortement de 1,65%. Le président du groupe Bernard Arnault s’est montré confiant pour 2012 après un bon premier trimestre. Les valeurs à suivre Vinci (+0,31% à 37,12 euros) a annoncé hier avoir remporté deux contrats d’un montant total de 105,5 millions d’euros en Pologne. Thales (-0,57% à 26,94 euros) a indiqué hier avoir finalisé le rachat, annoncé en décembre dernier, de Tampa Microwave, une société américaine spécialisée dans les terminaux de communications tactiques par satellites. FFP (-1,66% à 32,33 euros) a annoncé que la cession de 35 % de sa participation dans le groupe DKSH lors de son introduction en Bourse le mois dernier lui avait permis d’encaisser 110,6 millions de francs suisses (91,6 millions d’euros) soit 3,2 fois le montant investi en 2008. LDC (+0,78% à 84,85 euros) a déclaré hier soir qu’il s’attendait à dépasser «de manière significative» son objectif de résultat opérationnel courant annuel sur l’exercice clos fin mars. Mauna Kea Technologies (-5,53% à 11,45 euros) a fait état hier d’une perte nette annuelle de 7,9 millions d’euros pour un chiffre d’affaires de 5,98 millions, mais d’une marge brute de 68 %. Le spécialiste de l’endomicroscopie introduit en Bourse en juillet dernier s’attend pour 2012 à un impact «significatif» sur son activité des développements enregistrés l’an dernier. A la veille d’un long week-end chargé en actualité, la Bourse de New York s’est montrée très prudente. Les investisseurs américains restent par ailleurs très préoccupés par la situation en zone euro. Vivement secoués hier par un fort regain d’inquiétude sur l’économie en zone euro, les marchés américains sont restés sous pression ce jeudi. A la clôture, le Dow Jones perd 0,11% à 13.060,14 points, le S&P 500 lâche 0,06% à 1398,08 points tandis que le Nasdaq gagne 0,40% à 3080,50 points. Jo-Wilfried Tsonga adore la Coupe Davis. «C'est une compétition que j'adore, savoure le Manceau qui ouvre le bal, vendredi à midi, face à Ryan Harrison. J'essaie de profiter de chaque seconde que je passe avec cette équipe. » Et ce n'est pas une promesse de campagne. Son statut de leader, il le doit à ses actes. Sixième mondial, il se délecte des ambiances électriques et de l'esprit de groupe. En quatorze matches de Coupe Davis, il n'a perdu qu'un match à enjeu. C'était l'an dernier dans les arènes de Cordoue face à Rafael Nadal sur terre battue. Il n'a pas à rougir du bilan... Cette compétition possède un effet magique : inhibant ou galvanisant. Mieux qu'un référendum, il y a les pour et les contre. Et Jo-Wilfried Tsonga fait partie des élus. En Coupe Davis, ce petit supplément d'âme le transcende : «C'est différent. J'ai besoin de motivation, d'objectifs et de ferveur. Dans cette équipe, je l'ai tout le temps et cela me transforme. » Et il connaît le revers de la médaille et les risques du métier face à un jeune adversaire « ambitieux », Ryan Harrison (19 ans, 66e mondial). «Mon leitmotiv sera l'humilité. Il faut que je le prenne tout de suite à la gorge, prévient le 6e mondial. Il ne faut que je le laisse penser que je serai un peu laxiste. Dès le début, je dois lui montrer que je serai là du premier au dernier point. » Comme souvent et encore davantage avec le drapeau de son pays sur le maillot, l'attitude devient capitale. Peu importe le niveau de jeu... « Concernant les sensations, elles ne seront pas forcément les meilleures pour moi comme pour mon adversaire, explique le leader des Bleus. L'important sera d'accepter de ne pas forcément bien jouer, mais de rester dedans. » Les inquiétudes sur la solidité de l’économie en zone euro prèsent encore sur le moral des investisseurs après le succès mitigé d’une adjudication française ce matin et l’échec d’un appel au marché de l’Espagne la veille. Aux Etats-Unis, les nouvelles inscriptions au chômage aux ont poursuivi leur baisse, atteignant leur niveau le plus bas depuis quatre ans, selon des chiffres publiés jeudi par le gouvernement. Mais, le principal temps fort de la semaine sur le plan macroéconomique est attendu vendredi avec la publication des statistiques mensuels du chômage aux États-Unis. Les marchés américains seront fermés en ce 6 avril pour le Vendredi saint. Les investisseurs ne pourront donc réagir aux chiffres de l’emploi que la semaine prochaine. Les cours du pétrole ont nettement rebondi à New York après une forte chute la veille, dans un marché saluant l’indicateur de bon augure pour l’emploi aux Etats-Unis. Le baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en mai a gagné 1,84 dollar par rapport à la clôture de mercredi, finissant à 103,31 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Les valeurs à suivre Du coté des valeurs, Ford (-0,36% à 12,46 dollars) relevé sa prévision pour le marché automobile américain cette année après les bonnes performances enregistrées au premier trimestre. Il estime désormais que le marché annuel devrait se situer entre 14,5 millions et 15 millions de véhicules (camions et camionnettes compris), contre 13,5-14,5 millions précédemment. Le constructeur a toutefois dit qu’il risquait de perdre des parts de marché aux Etats-Unis cette année. En 2011, avec 16,8% du marché, Ford était numéro deux aux Etats-Unis derrière General Motors (19,6%). Apple (+1,50% à 633,68 dollars) et les éditeurs Pearson et Macmillan rechignent à accepter les conditions posées par les autorités de la concurrence américaines et européennes qui enquêtent sur des soupçons d’entente sur les prix des livres électroniques, rapporte le Wall Street Journal. JPMorgan Chase (-0,18% à 44,33 dollars). Le directeur général du groupe bancaire, Jamie Dimon, a déclaré mercredi qu’il était enclin à restreindre les rachats d’actions lorsque le cours de celles-ci est supérieur à 45 dollars. Le titre a fini mercredi à 44,41 dollars. Costco Wholesale (-0,44% à 88,65 dollars) fait état jeudi d’une hausse de 6% de ses ventes à périmètre comparable en mars, une croissance inférieure aux attentes du marché. Limited Brands (-0,92% à 48,24 dollars), qui possède entre autres la marque Victoria’s Secret, a annoncé une hausse de 8% de ses ventes à périmètre comparable le mois dernier, une performance meilleure qu’attendu. | Homme | eos | ||||||
optirap Nouvel utilisateur | 09/03/2011 | 0 | 09/03/2011 20h04 | 62 | Canon 7D | Canada | Homme | Canon 10-22, Canon macro 100 IS, Canon 24-105 IS | ||||||||
optisoin Membre | 25/09/2007 | 0 | 26/09/2007 09h30 | 42 | eos 350 d | guebwiller | Homme | 18-55 | ||||||||
optisoins Membre | 12/02/2010 | 3 | 08/08/2015 20h38 | 50 | 40d | france | Femme | sigma 18 50 2.8 dc ex- canon 50 1.8ii- 70-300 do is usm | ||||||||
opto Membre | 26/05/2005 | 6 | 27/07/2005 16h13 | 24 April 1972 | 53 | EOS350D | Ardêche | |||||||||
optoyo Membre | 05/02/2012 | 5 | 12/01/2016 21h08 | 58 | EOS400D | Chambéry | Homme | canon | ||||||||
opus Membre | 29/05/2007 | 0 | 19/03/2008 12h37 | eos400d | versailles | Homme | 18/55 | |||||||||
opusmaker Membre | 17/09/2007 | 14 | 01/10/2012 20h05 | Canon 5D Mk II, 350D, 7E date+grip | Suisse | Photo, Musique classique, danse, théâtre, vélo, randonnées. | Avocat | Homme | 50mm f/1.2, 135mm f/2, 24-70mm f/2.8, 70-200mm f/2.8 IS II; 580EX II | |||||||
Oracio Membre | 04/07/2013 | 1 | 22/08/2013 09h28 | inconnue | Paris | Homme | Savoir plus sur la photographie | |||||||||
oranais Membre | 01/11/2008 | 0 | 01/11/2008 16h52 | 26 September 1940 | 84 | canon 1000D | france | Homme | notice | |||||||
orange Membre | 06/07/2006 | 0 | 09/07/2006 17h45 | 28 May 1975 | 50 | EOS 350D | Germany | |||||||||
orange bleuee Nouvel utilisateur | 18/03/2011 | 0 | 20/03/2011 15h07 | 49 | 550d | drome | Femme | 0 | ||||||||
orange frenzy Membre | 26/07/2009 | 7 | 08/10/2018 17h55 | 37 | Canon EOS 5D MK1 | Lille (59) | Photographie automobile | Student | Homme | Canon EF 24-105 F4 IS USM L / CANON EF 70-200 F4 USM L / TAMRON 17-35 F2.8-F4... | ||||||
orange76 Membre | 08/12/2008 | 3 | 12/06/2009 15h41 | je ne sais pas | la photo | Femme | me faire plaisir | |||||||||
orangemeca Membre | 21/06/2007 | 156 | 29/10/2018 02h45 | 14 July 1965 | 60 | 1 DX / 1 DS MK II | BeetLand | Homme | L = 8-15/16-35/24-105/85/100/70-200/300 | |||||||
Oranginaboy Membre | 03/01/2013 | 0 | 04/02/2013 20h35 | 49 | EOS 60D | Toulouse | Homme | Tamron 17/55 2.8 / Canon 70/200 4.0L / Canon 85 1.8 | ||||||||
oranginarouge Membre | 27/09/2015 | 0 | 21/07/2022 07h57 | 53 | EOS 1D Mark II et EOS 1Ds Mark II | Eragny sur Oise | Homme | Canon EF : 24-70mm f/2,8 L - 70-200mm f/2,8L IS II - 100-400mm f/4,5-5,6L | ||||||||
Oras Membre | 20/09/2011 | 2 | 02/01/2017 09h07 | 5DIII,7D, 30D, G7 | Lyon | la photo de 1826 à demain | Homme | EFS 10-22, 16-35L II, EF40 f238, EF50 f1.4, EF100 f2.8 L macro, 200 f2.8 L, FD50 f1.2 | ||||||||
oraxela Membre | 02/12/2007 | 0 | 05/07/2008 07h28 | 52 | eos 350d | france | Femme | 24-85 | ||||||||
orb42 Membre | 07/10/2007 | 17 | 10/07/2015 19h43 | 5D | Toulouse | Homme | EF24-70L, Sigma 50f1.4 | |||||||||
Orbae Membre | 21/06/2009 | 33 | 14/12/2011 21h08 | EOS 40D | Montpellier | Homme | Tamron 17-50 f2.8; Canon 70-200 f4 L; Canon 100mm f2.8 macro; Canon 50mm f1.8 | |||||||||
orca Membre | 26/11/2009 | 37 | 04/07/2018 14h37 | 30 January 1975 | 50 | Canon EOS 7D MKII | Paris | HiFi, Montres, Photo, Moto | Comptable | Marseillais 100% | Homme | 24-70 L f/2.8 + 70-200 L f/2.8 IS USM + 50 f/1.4 + 100 f/2.8 L Macro + 135 f/2 L USM | ||||
orcade Membre | 11/09/2005 | 0 | 27/08/2010 14h55 | 47 | EOS 1000 Bientot 40D si il sort :( | Belgique | Homme | Ef 35-105, Ef 28, Ef 75-300 | ||||||||
Orcaf430 Nouvel utilisateur | 04/05/2011 | 0 | 11/05/2011 16h29 | EOS 550D | Maison de Campagne | Homme | Canon EF 50mm f1.8 + EF-S 18/55 + EF-S 55/250 | |||||||||
orcaparis Membre | 16/11/2008 | 1 | 23/11/2016 21h42 | 22 March 1961 | 64 | 450d | france | Homme | 18-55 is | |||||||
Orcaya Membre | 23/05/2008 | 24 | 19/04/2011 15h42 | 37 | Canon EOS 40D | France | Equitation !! | Auteur Photographe et étudiante | Femme | Canon 70-200 L f/2,8 IS USM + 17-85mm IS USM + 50mm f/1,8 | ||||||
Orchi Membre | 08/01/2007 | 132 | 06/12/2019 13h59 | EOS 50D | Belgium | Femme | canon 17-40mm f/4 - Sigma AF 70mm f/2.8 macro - 70-200mm f/4L- sigma 50mm 1.4 | |||||||||
Orchid Membre | 11/03/2007 | 0 | 11/06/2007 15h02 | Eos 300D | Annecy | Canon 18-55mm, 70-200mm |
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