Après, tu as aussi le cas ou les dérives de fabrication sont bien piégées, mais le fabricant décide en toute connaissance de cause de passer outre et continue à fabriquer non conforme et à le vendre.
C'est exactement cela, dans le cas des optiques et des boitiers non seulement il y a des contraintes et tolérances de fabrication, faciles a résoudre maintenant et aussi des réglages. Pour ce dernier point soit on laisse au reglage standard moyen théorique soit on réalise effectivement l'ajustement. Cette dernière manip coute du temps, de l'argent et nécessite des bancs de test .......... tant que cela n'est pas gênant pour les ventes la tentation de passer sur la solution tout standard est forte.

Quand a la dispersion on est typiquement dans la loi des systèmes complexes, un petit chouia ici, une petite erreur la et on se retrouve exceptionnellement avec des problemes de micro reglages a +30 (si, si le truc magique que Canon et les autres ont inventés pour libérer les SAV )

j'ai souvent été confronté à des problèmes de qualité et à chaque fois c'est une mauvaise définition de la surveillance
C'est surtout un problème de couts, les moyens de contrôle fab sont toujours en adéquation avec la demande du client, il peut être aussi plus avantageux d'avoir un contrôle final sans faille qu'augmenter le fiabilité du moyen de production, certaines séries mil ne différaient des civiles que par le test de stress effectué en bout de chaine.

Et oui ! Et c'est ainsi qu'on a un retour SAV : "dans les tolérances", ok mais lesquelles ? Il faut croire le constructeur sur parole ?
C'est le gros probleme, entre la demande, ce que le commercial promet, ce que le comptable chiffre, ce que le bureau d'etude pond , ce que la fab sort et ce que le client recoit il a parfois des choses amusantes