Donc, en définitive:

- on se heurte au phénomène à la mode de notion de "droit à l'image"
- à la notion de lieux publics/privés - manifestation publique/individu

difficile de délimiter parfaitement les frontières entre son propre ressenti et celui de la personne qui est shootée lorsqu'elle doit s'en rendre compte, non?