OlivierC, Je ne suis pas totalement d'accord avec toi. Le grain il y en avait certes, mais en 1970, sur une 13X18 bien mené, il ne se voyait pas. On le devinait en 18X24, et, il était
présent sur un 30X40. Je trouve excessif de dire que cela fait parti de l’inconscient collectif.

Ensuite les pros avaient leur labo. attitrés et soit il demandé d’estomper, soit ils en jouaient. Les amateurs devait avoir des connaissances en chimie, sinon c’était Microphene. Pour
moi c'est le rendu qui était travaillé avec le révélateur et le développement.

Au final c’était le choix du papier qui donnait et finalisait la matière.

Je ne pense pas que l'on puisse opposer de façon brutale numérique et argentique. Mais il est vrai que faire de l'argentique avec un numérique c'est très difficile.
Pour moi impossible.