N'oublie pas un accessoire essentiel: le réflecteur. En fonction du sujet, tu peux choisir un revêtement plus ou moins absorbant.
Exemple:
le classique carton blanc, renvoie une partie de la lumière du flash vers les ombres pour les "ouvrir".
Sur le même carton, une feuille de papier alu va renvoyer une lumière plus brillante pour relever des matières naturellement ternes comme la pierre ou le cuir.
Un carton noir va au contraire absorber l'excédent de lumière. Un carton de couleur va donner une légère dominante. Du bleu pour le verre...
Le reflecteur ne coûte presque rien, est facile à mettre en place, n'émet pas de lumière donc ne change pas radicalement l'exposition.

Quand on éclaire, il faut penser comme dans la nature. Il n'y a qu'un soleil. Le ciel et les nuages servent de diffuseurs. Les murs, l'eau, la neige de réflecteurs.
Ce qui n'est pas beau dans l'éclairage artificiel, c'est l'artificiel.
Au contraire, on peut créer un éclairage artificiel sur le concept de la photo d'intérieur. Les bougies d'une église, les spots d'un salon, les enseignes, l'éclairage des monuments. Dans ces cas précis, l'éclairage sert plus à dessiner qu'à éclairer. Pense-s-y.