Ponts basculants de Sète




[1] Pentax 80 mm f/1.8 | 1/4000 | f/4 | ISO 100



[2] EF-S18-55 IS II | 1/1000 | f/5.6 | ISO 100 | 18 mm
Pont Maréchal Foch (1932)



[3] EF-S18-55 IS II | 1/90 | f/5.6 | ISO 100 | 18 mm
Pont Sadi-Carnot (1949)



[4] Tokina 12-24 AT-X | 1/1000 | f/5.6 | ISO 100 | 12 mm (corrigé)
Pont du Tivoli (1949)



[5] Tokina 12-24 AT-X | 1/350 | f/5.6 | ISO 100 | 20 mm
Pont du Tivoli - (crémaillères de roulement à plots)


Ponts à contrepoids supérieur (dit de SCHERZER) source

Ce sont les plus anciens et les plus nombreux Le principe de manœuvre est le suivant : La culasse de l'ouvrage possède deux secteurs circulaires munis de creux venant s'engager sur les plots de deux chemins métalliques (crémaillères de roulement), portés chacun par une longrine de fondation sur la culée de l'ouvrage, et situés longitudinalement de part et d'autre de la chaussée. En général, parallèlement aux chemins de roulement des secteurs, deux chevalets sont installés, supportant chacun un chemin de roulement pour le chariot des mécanismes et une crémaillère sur laquelle vient s'engrener un pignon entrainé par un ensemble moteur-réducteur porté par le chariot et assurant le mouvement de translation. Le mouvement de translation provoqué par le déplacement du pignon sur sa crémaillère se transforme au niveau du contact secteur circulaire - chemin de roulement en un mouvement de rotation de l'ensemble qui fait donc, lorsque le chariot s'éloigne de la rive, lever la volée et descendre le contrepoids.