Coups de gueule collectif à l'encontre de Canon ?
Bonjour tout le monde !!!
J'ai reçu la semaine dernière mon 30D dans la joie et la bonne humeur face à un super boitier :clap:
Mais ce tableau idylique fut entaché comme on dit... test des points chauds etc etc, rien du tout, nikel... et là, je referme le diaph et shoot le ciel limpide... :34:
Bref, pour faire simple, le capteur était infecte... :surprise:
J'ai passé 20 minutes à le nettoyer avec le kit green clean et ses lingettes imbibées, son aspirateur etc etc et le résultat est certe bien meilleur mais il en reste toujours un peu...
Mais baste cela !!
C'était pour lancer l'idée de faire une lettre collective à l'attention de Canon pour se plaindre de ceci :bash:
Apparemment, un capteur de 30D sale, c'est passé dans le stade du normal quand on parcourt le forum... et je trouve ceci choquant au regard du produit et de sa destination !
Alors que pourrait on gagner à faire une telle lettre dont je voudrai bien en être le messager si besoin est ?
Déjà, on ne parle pas de quelques saletés style sur le 400D 2 ou 3 poussières qui se baladeraient mais vraiment quelque chose d'avéré quoi...
Donc à vos avis !!!
Il m'était venu une idée
Conseil super simple pour Mr Canon
Personnellement j'aime bien les solutions super simples ou tout le monde y gagne.
Je propose à Canon de vendre à des prix abordables de petits kits de nettoyage avec soufflette, batonnet et liquide de nettoyage.
Si c'est pas trop honéreux nous serons contents et Canon peu faire des bénéfices s'il sortent ce kit entre 8 et 15 €.
Perso en un an j'ai du nettoyer le capteur de mon 350D, deux fois.
J'aimerais une solution de nettoyage officielle "Canon" afin de ne pas faire n'importe quoi avec des liquides nettoyants dangereux pour mon capteur.
Voili Voilà... Peace and love sur la terre pour pourvoir faire plein de photos
Bonne soirée à tous
Pollution n'est pas qu'un mot au Scrabble ;)
Vous me faites rire avec ces posts sur les anti-poussières ... Le problème ne vient pas de l'anti-poussières, mais de la poussière elle-même.
Comme je subodore qu'il y a moins de pollutions atmosphériques en montagne qu'en région parisienne, je serais tenté de renvoyer vers la source de la poussière : vous et moi, nos habitudes de vie, de comportement, etc.
Je préfère les transports en commun (temps pour lire, radio, moins de stress, micro-sieste, etc. ... ici, parce que Paris, galère !), et je peux vérifier chaque hiver la différence :
a) ici, le déneigement inclut un salage massif des routes : tant que la route est mouillée, le calcium reste au sol, mais dès que c'est sec, ça vole avec les voitures, et en jolis nuages bien épais ;
b) j'ai vécu en Europe, en RP & Paris précisément et je vis au Qc, sur une île (très peuplée : 20% du Qc) depuis plusieurs années : curieusement, ou plutôt non curieusement, je n'ai plus de problèmes de rhume, angine, nez qui coule et Cie. Et l'air n'a pas la même odeur ;). Il me suffit de quitter Montréal, et je gagne "1000m d'altitude" en qualité d'air ... Et qd l'air est propre, l'air ici se compare à celui d'une station de ski de basse à moyenne altitude en plein hiver bien sec ...
De là à imaginer que saletés en suspension et rhume (et autres) sont liés, je ne fais qu'un pas, et le même pas me fait conclure que le capteur ne fait que coller les saletés en suspension. Certes, le pb reste entier, mais si l'air ambiant était moins saturé en saletés et particules lourdes diverses, nos capteurs seraient moins sales, non ? :rolleyes:
Je suis toujours perplexe quand je nettoie la face interne de mon pare-brise ... La cause : l'air que j'expire, celui du chauffage, etc. Et je ne fume même pas ;)
Conclusion : on récolte ce qu'on a semé depuis des décennies et on chiale quand on les voit sur nos capteurs ... imaginez nos poumons :rolleyes:. Et là pas de sensor swab ...