Content ou pas content : content quand même. Puisqu’il le faut :-)
Bonjour à tou(te)s.
Les traditions ayant souvent du bon, je m'y plie avec plaisir.
Je viens de me remettre à la photo "sérieuse". Mon Nikon FG-20 (personne n'est parfait) ayant rendu l'âme voici 19 ans suite à une trop forte ingestion de sable suivie un an plus tard d'un trempage dans l'eau de mer, je m'étais, jusqu'à cet été, contenté de me servir de mes yeux et de quelques compacts de passage.
J'ai donc passé le pas en m'offrant un 600D qui me permet, grâce à son écran orientable, de ne pas trop me servir de mes vertèbres sans disque dans certains cas.
Suite à quelques passages sur votre forum, j'ai complété le boitier avec un 17-50 de chez Tamron (n'étant pas encore atteint par Parkinson, je n'ai pas pris la version stab). Depuis le 18-135, acheté en kit, ne quitte plus le réduit sombre dans lequel il expie mes vacances - par lui gâchées - et j'attends de me calmer pour appeler le SAV.
Bref, je m'y remets doucement et je tente de toucher à tout un peu. J'y prends plaisir quand mon boulot et la famille m'en laisse le temps.
Je viens de m'offrir un pied (très basique), mais dans les Corbières au pays du vent, rien ne vaut un bloc de béton d'au moins 2.5 m3 posé sur la griffe du flash pour stabiliser un ensemble. Mon index, à force d'être écrasé, me fait mal et les bretelles du sac crient "asile" lorsqu'elles passent devant l'église.
Hormis cela, j'entretiens ma vieille maison, je programme en Pascal (c'est plus vieux que la photo), j'ai un boulot, une famille et un bout de terrain inconstructible dans des collines qui dominent la mer.
Merci donc de m’accueillir