Se mettre en AI servo, sans choisir de collimateur, cela permet à l'appareil de changer de collimateur en cours de rafale.
Avec un peu d'habitude, on "sent" que la MAP est "accrochée" sur le sujet mobile, et à partir de là on lance la rafale. Sentir que la MAP est accrochée sur le sujet est essentiel avant de déclencher, sinon...
naturellement, il y a du déchet, mais c'est comme cela que je fais (et d'autres naturellement) pour les prises de vue d'oiseaux en vol
voir par exemple ces photos de colibris en vol
http://www.pbase.com/thierry_nk/colibris
de pélicans
http://www.pbase.com/thierry_nk/pelicans
ou de frégates
http://www.pbase.com/thierry_nk/fregate
Naturellement, tout ceci est fait avec un 1D MII et c'est la MAP la lus efficace qui existe, mais j'ai déjà utilisé un 20D, c'est moins efficace certes, il y a un peu plus de déchets, mais ça passe quand même assez bien.
Priorité vitesse, ou alors bien vérifier que l'on ne risque pas de descendre en dessous d'une vitesse adéquate
pour le cadrage, quand on a des sujets fortement mobiles, il me semble que la priorité est d'abord d'avoir "quelque chose de bien dans le cadre" plutôt que de n'avoir que des photos bien cadrées mais floues. Le recadrage en post-traitement n'est pas un crime (et a toujours existé depuis que la photo existe), bien que certains puristes n'aiment pas. Pour des sujets fixes ou faiblement mobiles, OK, mais prendre des colibris ou d'autres sujets au déplacement imprévisible, de mon point de vue, le recadrage s'impose, à moins d'accepter d'avoir une bonne photo sur 10.000 ;)