- EXIF: Canon ( EOS 5D) | 60mm | 1/125s | f/4.5 | ISO 100
Bonne soirée
Andre
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- EXIF: Canon ( EOS 5D) | 60mm | 1/125s | f/4.5 | ISO 100
Bonne soirée
Andre
Bonsoir André,
Ta photo ne laisse pas indifférent; perturbe même... Ce regard interpelle vraiment et déclenche toute une pluie de questions pour lesquelles nous ne pouvons répondre car aucune connaissance de l'origine.
Côté technique, je ne peux critiquer car comme je l'ai dit auparavant, je n'arrive pas à appréhender ce que tu souhaites montrer avec ce regard la souffrance intérieure oui mais ...
Dans tout les cas, tu as bien réussi à m'interpeller et c'est bien là le plus important pour un photographe.
Merci pour le partage
Yannick
Effectivement, un regard qui interpelle. Domage de ne pas avoir laissé un peu plus d'espace à droite et à gauche des yeux.
+1 Mon avis vaut ce qu'il vaut en tant que débutant mais, j'aurais cadré un peu plus large pour laisser un peu plus d'espace aux yeux, un format un peu plus panoramique en somme.
Le netteté n'est pas top non plus.
Par contre le message passe très bien, je trouve que "l'émotion" est vraiment présente.
Morgan.
André,
J'aurais bien aimé une zone de netteté pour accrocher le "regard"... j'ai l'impression que c'est un crop trop important ( c'est peut-être mon côté photo nette qui ressurgit à chaque fois), mais comme dit ci-avant la photo retient l'attention, c'est le principal :D
JM
l'effet est spectaculaire ... c'est un cliché qui parle, mais je n'accroche pas : trop perturbant !
Merci pour vos reactions .....et vos avis
Andre
"Une photo sans légende est saturée de sens" - Roland Barthes, Système de la Mode
C'est sur, une photo perturbante! Bravo.. Meme si je n'aime pas ;)
Une photo à te mettre le cafard pour les fêtes.
Je n’adhère pas et suis assez d'accord avec LEOP
Pour Barthes le Génie de la photographie, ce qui a été photographié « a existé » tout simplement
La photographie étonne Roland Barthes comme si elle avait le pouvoir de faire revivre ce qui a été. Elle n’invente pas (comme peut le faire tout autre langage), « elle est l’authentification même » (page 135). « Ce qu’on voit sur le papier est aussi sûr que ce qu’on touche » (page 136), mais la photographie ne sait dire ce qu’elle donne à voir (page 156). La photographie est violente (page 143) car elle emplit de force la vue. Elle est périssable (comme du papier) : elle naît comme tout organisme vivant à même les grains d’argent qui germent, s’épanouit puis vieillit.
André