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Informations de base

Date de naissance
24 November 1992 (32)
Informations de thvtrix
Boitier:
gridiron
Lieu d'habitation:
paris
Biographie:
L’indice phare de la Bourse de Paris a reculé de 0,06% à 3407,68 points.

Tout au long de la séance,le CAC 40 a tenté de se maintenir dans le vert. En vain, l’indice phare de la Bourse de Paris a finalement abandonné 0,06% hier soir à la clôture, sauvant toutefois les 3400 points, à 3407,68 points exactement. Le moral des investisseurs demeure fragile alors que Wall Street reste minée par la réélection de Barack Obama à la présidence des États-Unis. À la mi-séance, le Dow Jones reculait encore de 0,17% à 12.909 points, mais l’heure est au soulagement côté américain, alors que les inscriptions au chômage outre-Atlantique ont reculé contre toute attente, et que le déficit commercial s’est contracté.

Partout en Europe, l’indécision domine. À Londres, le Footsie a cédé 0,27% à 5776,05 points. À Francfort, le Dax a reculé de 0,39% à 7204,96 points. Dans les mêmes proportions, l’euro s’est déprécié de 0,22% face au billet vert, à 1,2743 dollar. Les marchés n’ont pas réagi aux déclarations du président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, qui a maintenu le principal taux directeur à 0,75% et tablé sur une croissance faible en Europe en 2013. «Mario Draghi ne peut rien nous dire de nouveau. Son institut a fait ce qu’il fallait en septembre», explique Alexandre Hezez, analyste chez Convictions AM. La BCE a en effet lancé un nouveau plan sans précédent de rachat de dettes publiques de la zone euro, et ce, pour un montant illimité.

Désormais, la balle est dans le camp de l’Espagne, qui continue d’hésiter à demander l’aide financière proposée par la zone euro. Les investisseurs s’impatientent, et la sanction est immédiate: sur le marché obligataire, les taux longs espagnols se sont dangereusement rapproché du seuil de 6% aujourd’hui, alors que la Commission européenne a estimé que le pays allait rester en récession jusqu’en 2014 et rater ses objectifs de réduction du déficit cette année et les deux prochaines.

La pression s’intensifie également côté grec: le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a quelque peu douché les espoirs du pays en déclarant ne pas s’attendre à un déblocage d’une nouvelle tranche d’aide avant plusieurs semaines.
Nombreux résultats

A l'image des places europénnes, Wall Street clôture au plus bas du jour. Mais contrairement au CAC40 ou à l'Euro-Stoxx50, les pertes sont loin d'être symboliques et les dégagements se sont accélérés en fin de séance.
Le 'S&P' est passé en quelques minutes de -0,7% à -1,20% à 1.378Pts, le Dow Jones et passé de -75Pts à -122Pts (à 12.811Pts, soit -0,95%) et le Nasdaq a dévissé de -1,4% à 2.895Pts.
Cette évolution négative des cours qui se radicalise en fin de séance confirme la cascade signaux de rupture de supports moyen terme observée la veille.

Il n'est plus question cette fois-ci de 'fausse sortie' à la baisse (scénario dont Wall Street est coutumier quand trop d'opérateurs pargagent les mêmes anticipations) et les indices se retrouvent au plus bas depuis le tout début du mois d'août.
A moins d'un vigoureux sursaut vendredi, Wall Street a va aligner uune 3ème semaine de repli consécutif.

Les investisseurs semblent ne plus réagir aux bonnes nouvelles: ni le recul du nombre de chômeurs à 355.000 en données hebdomadaire, ni la contraction du déficit commercial américain (à 41,5Mds$ en septembre au lieu de -45Mds$ anticipé) n'ont provoqué le moindre rebond des indices... et c'est même plutôt le contraire qui s'est produit peu après 14H30, ce qui augurait mal de la suite de la séance.
Tenu en échec jeudi soir avec l'OM par M'Gladbach (2-2), Loïck Rémy a réagi à la sanction infligée en début de soirée par la commission de discipline de la FFF à Yann M'vila. «C'est lourd. Pour les joueurs, ça doit être une situation délicate. Ce sont des jeunes, ils ont fait une erreur. On fait tous des erreurs», a confié l'attaquant marseillais. (

Pour ne rien arranger, Groupon annonçait peu après la clôture un CA de 569Mns$ contre 590Mns$ anticipé et un profit par titre nul (au lieu des 0,03$ de gain attendus): le titre plongeait rapidement de -15% en 'after hour', à 3,33$.
Walt Disney rate pour sa part le consensus de chiffre de d'affaire pour quelques dizaines de millions de $ mais son profit de 0,68$ par titre est conforme aux estimations: le titre perdait 2% sur cette annonce.

Le 'S&P' a été plombé par Aberrcrombie -4,1%, Avon -4%, Halliburton -3,9%, EOG -3,5%.

Le Nasdaq a souffert de la chute du compartiment distribution et biens de consommation: Whole Foods -5,8%, JC Penney -4,9%, Hospira -4,6%, Chipotle -4,2%, Perrigo -4%, Apple -3,7% (à 537$), Staples -3,6%, Micron -3,2%, Fossil -3%.
A noter le léger rebond du pétrole (+0,8%) et de l'or (+1% à 1.732$).

HEWLETT-PACKARD

L’euro est reparti à la hausse face au dollar, non pas pour des raisons économiques, mais parce que la réélection d’Obama est synonyme de continuité de la politique d’assouplissement monétaire de la Fed.

La monnaie unique s’est nettement appréciée ce matin à 1,2872 dollar à l’annonce de la réélection d’Obama à la présidence des États-Unis pour quatre ans. En réalité, c’est moins l’euro qui monte que le dollar qui s’affaiblit vis-à-vis des principales devises comme le yen, le franc suisse ou la livre britannique.

Cette affaiblissement du dollar n’est pas dû à un assombrissement des perspectives économiques américaines, ni à la déception des opérateurs à l’égard du résultat du scrutin. L’image d’Obama est au contraire clairement associée au redressement de l’économie américaine depuis cet été, avec des signes de plus en plus visibles d’amélioration sur le front du chômage et de l’immobilier.

La hausse de l’euro face au dollar s’explique avant tout par le fait que la victoire d’Obama assure la continuité de la politique monétaire des États-Unis, qui va rester accommodante au cours des trimestre à venir. Aussi longtemps en tout cas l’économie ne se sera pas définitivement redressée. Le confirmation de Ben Bernanke à son poste de président de la Réserve fédérale des États-Unis jusqu’au printemps 2014 rassure les investisseurs sur ce point.

Mais cette politique de création monétaire à outrance a pour résultat de faire baisser le dollar vis-à-vis des principales devises mondiales. Elle pousse également les investisseurs vers d’autres devises offrant de meilleurs rendements.

Elle profite aussi à l’or qui s’adjuge 0,55 % à 1724 dollars l’once à Londres. Non pas là aussi parce que les investisseurs s’inquiètent de l’avenir de l’économie américaine, mais parce que la perspective d’un dollar faible pousse naturellement les détenteurs de capitaux à aller vers l’autre placement refuge que constitue l’or. Le choix du métal jaune comme solution alternative est d’autant plus aisé que le rendement des placements à court terme en dollars est désormais quasi-nul. Du point de vue de la rémunération, le dollar et l’or se retrouvent désormais à légalité.

Le sentiment des experts du Figaro Bourse: la réélection d’Obama dans des conditions claires et nettes constitue une bonne nouvelle pour les marchés qui craignaient par dessus tout une période de flottement. Elle constitue un signe favorable pour l’ensemble des valeurs financières et pour l’or car elle va dans le sens d’une baisse du dollar.


Le Dow Jones a reculé de 0,94% et le Nasdaq de 1,41% à la clôture. Les bons chiffres du jours n’ont pas effacé les craintes des investisseurs sur le «mur budgétaire» depuis la réélection de Barack Obama.

Wall Street a connu jeudi une nouvelle séance de baisse, dans un marché toujours préoccupé par les difficiles négociations budgétaires à venir aux Etats-Unis après la réélection de Barack Obama à la Maison blanche. Malgré des indicateurs économiques positifs publiés avant l’ouverture, une timide tentative de rebond en début de séance a fait long feu et les inquiétudes sur le «mur budgétaire» ont vite repris le dessus. L’indice Dow Jones a reculé de 121,41 points (0,94%) après avoir déjà lâché 2,36% mercredi.

Le S&P-500, dont la baisse de 2,37% mercredi était la plus forte depuis le 1er juin, a encore cédé 17,02 points ou 1,22% à 1.377,51 points. L’indice de référence est passé en fin de séance sous sa moyenne mobile des six derniers mois (1.380 points) pour la première fois depuis le 6 juin, un mauvais signal technique. Le Nasdaq Composite, à forte pondération technologique, a ajouté 1,42% aux 2,48% perdus la veille, clôturant en baisse de 41,70 points à 2.895,58.

Barack Obama a, sitôt réélu, appelé de ses voeux un compromis avec les dirigeants de la Chambre des Représentants et du Sénat pour éviter le «mur budgétaire» (»fiscal cliff»), ces quelque 600 milliards de dollars de hausses d’impôts et de réduction des dépenses qui, faute d’accord entre la Maison blanche et le Congrès, menacent de s’appliquer début 2013 au risque de faire dérailler la reprise économique. Mais le marché craint des négociations difficiles avec la majorité républicaine de la Chambre, confirmée par les élections de mardi.

«Comment un investisseur s’adapte-t-il à la perspective de hausses d’impôts sur les plus-values et les dividendes? En vendant!», résume Bucky Hellwig, gérant chez BB&T Wealth Management à Birmingham, dans l’Alabama. «Cela semble être le thème dominant sur le marché aujourd’hui». Les deux indicateurs du jour n’ont pas suffi à inverser la tendance. Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont baissé à 355.000 contre 363.000 la semaine dernière, un chiffre meilleur que prévu mais faussé par l’ouragan Sandy. Autre signal positif, le déficit commercial s’est légèrement réduit en septembre grâce à une hausse des exportations, laissant entrevoir une croissance plus importante que prévu au troisième trimestre.
McDonald’s tire le Dow Jones à la baisse

Valeur emblématique de Wall Street, McDonald’s a abandonné 1,99% à 85,13 dollars, après un plus bas de l’année de 84,96 dollars. Le géant américain de la restauration rapide a annoncé une baisse de 1,8% de ses ventes mondiales en octobre, une première depuis mars 2003.

Par contraste, son concurrent Wendy’s, deuxième chaîne de hamburgers aux Etats-Unis, a annoncé au même moment une progression de 2,7% de ses ventes au troisième trimestre. Le titre a fini sur un gain de 3,05% après avoir affiché en matinée une hausse de plus de 7%.

Aux technologiques, Apple, en baisse de 3,6% à 537,75 dollars, a continué de pâtir d’inquiétudes sur les capacités de production de son iPhone5. Le titre a perdu plus de 20% depuis son plus haut record de 705 dollars atteint pendant la séance du 21 septembre.

Vedette du jour, le fabricant de puces Qualcomm - fournisseur d’Apple - s’est adjuge 4,39% après la publication de résultats et d’un chiffre d’affaires trimestriels supérieurs aux attentes et l’annonce de bonnes perspectives.


Alcatel-Lucent, un titre particulièrement volatil, s’est envolé de 11,6% à 0,885 euro à la clôture, après avoir été suspendu de cotation en séance. L’action a bénéficié de l’annonce, la veille, par l’opérateur américain AT&T d’un projet d’investissement de quelque 14 milliards de dollars sur les trois ans à venir.

Vallourec est resté très recherché (+4,42% à 32,98 euros), les investisseurs saluant le redressement des marges du fabricant de tubes sans soudure.

PPR a gagné 0,34% à 134,65 euros après avoir annoncé la signature d’un accord avec le groupe américain NTE (Northern Tool + Equipment) en vue de lui céder le pôle Sport de Redcats aux Etats-Unis pour une valeur de 215 millions de dollars.

Société Générale repartait à la hausse (+1,65% à 24,99 euros). La banque a dépassé les attentes du marché au troisième trimestre.

Capgemini signait la plus forte baisse du CAC 40 (-4,34% à 31,26 euros) après avoir annoncé que le quatrième trimestre serait un peu plus difficile pour la société.

EADS restait sous pression (-4,59% à 31,19 euros), malgré des résultats trimestriels supérieurs aux attentes, «après avoir annoncé une nette détérioration de son flux de trésorerie», a expliqué à l’AFP une source de marché.

JCDecaux était la lanterne rouge de la cote (-6,09% à 16,02 euros). Le groupe s’attend à un recul de ses ventes à données comparables au quatrième trimestre.

Arkema gagnait du terrain (+4,06% à 73,24 euros) après avoir réalisé un bénéfice en hausse de 6,4% au troisième trimestre.
Genre:
Femme
Objectifs:
Myopia

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