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Informations de optionbinaire

Informations de base

Date de naissance
30 January 1987 (38)
Informations de optionbinaire
Boitier:
Canon EOS 600D
Lieu d'habitation:
paris
Biographie:
La Bourse de New York a terminé sans direction vendredi, le marché réagissant aux nouvelles en demi-teinte de grosses entreprises américaines et toujours dans l'attente d'un accord en Grèce: le Dow Jones a progressé de 0,76% mais le Nasdaq s'est replié de 0,06%.

Selon des chiffres provisoires à la clôture, le Dow Jones Industrial Average a pris 96,50 points à 12.720,48 points, tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, a cédé 1,63 point à 2.786,70 points.

L'indice élargi Standard and Poor's 500 a repris 0,07% (0,88 point) à 1.315,38 points, après une ouverture en légère baisse.

Wall Street avait terminé jeudi à son plus haut depuis six mois à la faveur de bons résultats d'entreprise et d'une série d'indicateurs économiques rassurants. Le Dow Jones avait pris 0,36% à 12.623,98 points et le Nasdaq 0,67% à 2.788,33 points.

Entre-temps, plusieurs grosses valeurs technologiques, particulièrement Google, ont publié des résultats trimestriels moins solides qu'attendu.

"On a eu quelques signaux mitigés du côté des publications de résultats", a confirmé Evariste Lefeuvre, de Natixis. "Cela vient légitimer un atterrissage en douceur" d'une semaine qu'il estime "plutôt bonne".

De nombreux gestionnaires ont décidé de rester à l’écart des banques, trop risquées. Oddo AM voit au contraire dans leur descente aux enfers une opportunité à saisir en Bourse.

Voici un nouveau fonds qui ne passera pas inaperçu. Oddo AM lance Oddo European Banks, spécialement conçu et géré pour tirer parti, en Bourse, de la situation délicate dans laquelle se trouvent aujourd’hui les banques européennes. «Est-ce un acte de foi? De l’inconscience? Sommes- nous téméraires? Non, nous sommes rationnels et nous avons fait un travail analytique pour y voir clair, s’est justifié Thierry Deheuvels, le directeur général délégué d’Oddo AM, qui revendique surtout une approche pragmatique.

Le gérant du fonds, Alain Dupuis, pointe du doigt les craintes parfois exagérées des marchés sur ce secteur. «Si l’on applique des décotes sur les dettes souveraines détenues par les banques, les pertes seraient importantes, mais l’impact sur les ratios de solvabilité serait limité», remarque-t-il. Les banques ont en effet réduit le poids des emprunts d’États dans leurs bilans: les engagements sur l’Italie ont chuté de 20 % entre juin et septembre. Autre bon point: les établissements bancaires ont augmenté de près de 400 milliards d’euros leurs fonds propres depuis 2008. «La solvabilité est en amélioration constante. Et avec la mise en place de mesures non conventionnelles, par la BCE et l’Europe, la situation devrait se redresser», prévoit Alain Dupuis. Quant à la rentabilité, elle pourrait être plus soutenue que ne le prévoient les marchés «grâce à la capacité des banques à contrôler leurs prix et leurs coûts».

Miser sur les banques suisses, nordiques et asiatiques

D’ailleurs, si certaines ont renoncé à verser un dividende, comme la Société Générale, d’autres ont encore des distributions généreuses: le rendement de Natixis ou Santander dépasse les 10%. Tout cela sur fonds de valorisation très attractive. Les banques se paient 6,7 fois leurs bénéfices 2012, très en dessous de leur moyenne historique (10 fois). Mais il ne s’agit pas seulement d’investir sur les valeurs bancaires qui ont payé le plus large tribut à la crise (avec en ligne de mire BNP Paribas, Natixis, ou Barclays). Pour s’émanciper de la zone euro, promise au marasme économique, Alain Dupuis s’intéresse aussi aux banques des pays nordiques et baltes (Swedbank, Nordea…), ou exposées à l’Amérique latine -comme Santander, BBVA- ou à l’Asie, comme HSBC. Il mise aussi sur des établissements moins sensibles à la conjoncture, comme UBS ou Credit suisse. Les banques suisses, nordiques et asiatiques ont ses faveurs aussi pour minimiser les risques de financement.

Le concept saura-t-il convaincre des investisseurs plus prudents aujourd’hui que jamais, et qui ne manifestent guère l’envie de revenir en Bourse? En tous cas, de nombreux gestionnaires avouent, eux, rester prudents sur le secteur, à l’instar de Jean-Marie Mercadal, directeur général adjoint en charge des gestions chez Ofi AM, qui juge l’incertitude trop grande sur le sort des banques, et la volatilité de leurs cours en Bourse trop forte.

"Avec un marché relativement en hausse vers la fin de la journée, le Nasdaq est toujours en retrait, tiré à la baisse par Google", a constaté Marc Pado, de Cantor Fitzgerald quelques minutes avant la fin de la séance.

"Ce fut une séance plutôt calme", a-t-il résumé, "les marchés se (préparent) à accueillir les nouvelles de Grèce" et notamment de la restructuration de la dette du pays.

Malgré la publication de résultats dans la matinée de grosses entreprises avec notamment General Electric, "le marché est toujours focalisé sur cela", a-t-il ajouté.

Paris n'a pas connu les mêmes frayeurs qu'au tour précédent face à Locminé (2-1). Mais il devra encore patienter pour vraiment briller dans cette Coupe de France qui lui a tant souri par le passé. Opposé à un autre club de CFA 2, Sablé-sur-Sarthe, les joueurs de Carlo Ancelotti ont dû attendre un but de Kevin Gameiro... entaché d'une position de hors-jeu de Ménez (65e) pour anéantir les espoirs les plus fous des protégés d'Olivier Pignolet. A 2-0, les Sarthois ont logiquement abdiqué, laissant le PSG tranquillement dérouler. L'histoire retiendra toutefois que jusqu'au but du break inscrit par l'ancien Lorientais, les amateurs avaient plutôt bien résisté aux assauts parisiens.
Pastore touché
Dans un MM Arena plein à craquer, ce qui n'était plus arrivé depuis... son inauguration, le large succès du club de la capitale n'en reste pas moins mérité. Le seul point noir de la soirée concerne Javier Pastore, remplacé dès la 27e minute en se tenant la cuisse gauche. A première vue, l'Argentin pourrait souffrir d'un claquage ce qui signifierait quelques semaines d'absence. A l'image de son influence limitée depuis quelques mois, il est toutefois difficile d'affirmer que son absence ait contrarié les desseins parisiens. Depuis le début de la saison, la vraie star du PSG, c'est Nene. Le Brésilien l'a encore démontré en obtenant le penalty de l'ouverture du score qu'il a lui-même transformé (36e). Passeur décisif sur le troisième but parisien, il a ensuite mis un point d'honneur à parachever le succès du leader de Ligue 1 sur une ouverture d'Hoarau (90e+1).


La Grèce semblait sur le point vendredi soir de boucler rapidement un accord avec ses banquiers pour la restructuration volontaire de sa dette, censé lever la pression sur la zone euro, laquelle a été encouragée par l'adoption d'un vaste plan de libéralisation en Italie.

Alors que l'attente se poursuivait après plus d'une semaine de discussions serrées à Athènes, en lien avec Bruxelles, Washington, Berlin et Paris, la plupart des médias grecs, alimentés en fuites diverses, estimaient que les deux parties étaient à deux doigts d'un accord-cadre fixant les modalités d'effacement de 100 milliards de dette grecque détenue par les créanciers privés.

Les investisseurs ont également accueilli avec attention la publication dans la matinée des ventes de logements anciens aux Etats-Unis qui ont progressé en décembre pour le troisième mois d'affilée, mieux que prévu par les analystes.

Du côté des valeurs, les réactions aux résultats d'entreprise jeudi et vendredi étaient mitigés, malgré une saison de publication jusque-là plutôt prometteuse.

Au total, sur les 15 entreprises couvertes par l'AFP depuis le 9 janvier, 10 affichaient des bénéfices trimestriels supérieurs aux attentes, une était conforme aux prévisions, et 4 ont déçu.

Le conglomérat américain General Electric, qui a vu son bénéfice net annuel progresser en 2011 mais dont le chiffre d'affaires a déçu, a terminé inchangé à 19,15 dollars, après avoir regagné le terrain perdu dans la matinée.

Le groupe américain de cartes de crédit American Express (Amex) perdait 1,79% à 50,04 dollars malgré l'annonce la veille d'un bénéfice en hausse en 2011 et au quatrième trimestre, les investisseurs se concentrant sur un chiffre d'affaires décevant.

Les performances des valeurs technologiques jeudi soir étaient également mitigées.

Un autre joueur parisien s'est également offert un doublé : Kévin Gameiro dont on attendait beaucoup pour sa première titularisation sous l'ère Ancelotti. Au-delà des statistiques -et contrairement à ce laisse penser son deuxième but-, ses appels n'ont pas toujours été compris par les joueurs chargés de l'épauler, et notamment Ménez. Si Paris a eu des occasions de creuser l'écart bien plus tôt, il a trop souvent pêché dans le dernier geste -par excès d'invidualisme ?- avant de tomber sur un Sybille qui aura retardé l'échéance tant qu'il a pu. A l'image d'une nouvelle entame de match compliquée, symbolisée par une mésentente entre Sakho et Camara, Paris peut encore s'améliorer. Mais avec trois victoires en autant de rencontres depuis qu'il a succédé à Antoine Kombouaré, Ancelotti avait des raisons d'arborer un large sourire au coup de sifflet final.


Le groupe internet Google était lourdement sanctionné par le marché vendredi, entraînant l'indice Nasdaq dans sa chute. Son titre chutait de 8,38% à 586,00 dollars, les investisseurs se montrant déçus de la performance du quatrième trimestre.

Microsoft s'adjugeait de 5,65% à 29,71 dollars. La veille, le groupe informatique américain avait publié des résultats légèrement supérieurs aux attentes.

Le géant américain de l'informatique IBM gagnait 4,43% à 188,52 dollars après la publication jeudi d'un bénéfice net en hausse de 7% en 2011.

Le numéro un mondial des microprocesseurs, Intel, affichait une hausse de 2,93% à 26,38 dollars après la publication jeudi d'un bénéfice net annuel "record".

Le marché obligataire reculait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans montait à 2,028% contre 1,972% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,101% contre 3,039%.

Wall Street finit stable après des résultats d'entreprises en demi-teinte

EXPERTISE BOURSE - Intel vient de publier des résultats solides. Le titre est raisonnablement valorisé. Il offre une opportunité de diversification des portefeuilles sur Nasdaq, le marché américain des valeurs technologiques.

Le fait - Le numéro un mondial des microprocesseurs vient d’annoncer des performances trimestrielles supérieures aux attentes des analystes. Le chiffre d’affaires annuel ressort en hausse de 24 % à 54 milliards de dollars et le bénéfice net en progression de 13 % à 12,9 miliards.

La marge brute est remarquable puisqu’elle se situe à 61 % du chiffre d’affaires. De toute évidence, le retard intervenu dans le lancement du nouveau processeurs Sandy Bridge n’a pas pesé sur le résultat.

L’analyse - Ces performances confirment la solidité du modèle d’Intel et sa capacité de croissance sur les nouveaux équipements électroniques (tablettes, smart phones, etc…) à un moment où la croissance des ventes de PC commencent à ralentir. Le maintien des marges montre que les coûts de production sont maîtrisés et que le groupe parvient à se placer sur les secteurs d’activité à plus forte valeur ajoutée.

Pour le trimestre en cours, les dirigeants tablent prudemment sur un chiffre d’affaires situé autour de 14 milliards de dollars, avec une marge opérationnelle comprise entre 61 et 62 %. La croissance est faible en apparence (autour de 4%), mais elle est robuste. Elle intervient surtout après un exercice 2010 historique en terme de résultats!

A 25,63 dollars, le titre est proche des plus hauts depuis fin 2007, marquant une progression de 22 % sur les 12 derniers mois. En dépit de cette hausse, il reste très raisonnablement valorisé autour de 10,8 fois les profits attendus pour 2012. A ce niveau, Intel offre une bonne opportunité de diversification pour des investisseurs qui cherchent à ouvrir leur portefeuille à des valeurs technologiques américaines de tout premier plan.
Genre:
Femme
Objectifs:
Canon EOS 600D

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Dernière activité
21/01/2012 02h49
Inscription
20/01/2012
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