Je crois que vous mélangez :
  • Le flare qui est un reflet interne dans l'objectif, parasite et souvent disgracieux, (comme celui de la photo avec le chien ou ceux de l’immeuble)
  • L'image d'un point lumineux, hors champs de netteté, qui produit une image du diaph (comme sur la première photo)

On peut éviter le premier, même si je remarque que c'est à la mode dans les productions vidéo, en choisissant un objectif qui en produit peu, en utilisant un pare-soleil et en n'ayant pas de filtre devant l'objectif. Le deuxième est incontournable, c'est une loi de l'optique géométrique. Certains objectifs présentent un diaph plus rond que les cinq lamelles droites classiques.

Le diaph du {Canon EF 180mm Macro f/3.5L or Sigma Lens (on ne sait pas ?)} à 9 lamelles, de la photo [1] donne de beaux effets. La taille du rond est directement liée au diamètre du diaph et dépend de la distance. A la limite si la Pdc était infini, on verrait, dans l'image, le point lumineux qui en est à l'origine.





Sur cette exemple, les deux photos ont été prises au 200 mm pour une MAP faite, pour les deux, à 1,96 m du capteur (butée proche) avec la même ouverture de diaph f/5.6. Sur celle de gauche le point lumineux est à 11,2 m et à 6,2 m à droite. Le point lumineux est un trou percé avec une aiguille dans un masque devant une LED blanche. On remarque que plus le point lumineux est proche de la zone de MAP plus son image est petite (et lumineuse). Inversement l'image du point grandit quand on déplace la source vers l'infini et la luminosité de la tache baisse. Sur les photos la différence de luminosité été compensée par la vitesse de l'obturateur