merci Marc!

je ne parle pas des arrières-plans - on fait avec et si on a la chance de pouvoir installer une drink, on se rend vite compte de l'importance de l'environnement. après, il ne reste qu'à choisir ses heures de présence en fonction des lumières, très vite dures par chez toi, ou on en joue. il y a aussi la marge de tolérance ou d'exigence de chacun dans les images qui dépendent de nombre de facteurs très subjectifs, dont l'un est le nombre de clichés qu'on a pu faire de telle ou telle espèce. au bout de quelques centaines de clichés d'épeiche à se concentrer sur la bestiole avec l'oeil net, le travail se fait sur tout le reste....

Justement, la photo ne prête pas à l'imagination. On ne la recompose pas,
bien au contraire, Myriam, et c'est encore plus difficile en animalier....