Il n'y avait pas autant de cerfs que cela!, je dirais 5 ou 6 à l'oreille le soir. Mais l'intérêt de cette partie de forêt domaniale, est que les cerfs brament en bordure de forêt dans les plaines (champs, prairies..).
Ainsi la journée ils se remisent non loins de celle-ci.
Mais vu le dérangement (promeneur, chevaux de course, curieux du soir qui viennent en voiture, et je m'inclu dedans malgrès toutes mes précautions), et la préssion démographique et urbaine (raiseau routier dense, habitations, biocorridors perturvés lors du brame) n'étant qu'à 60 km de Paris, ils rentrent très tot en forêt.
La physinomie des enceintes en forêt à joué pour beaucoup, car tous ces facteurs font que les animaux se remise la journée , dans des endroits pas possible (encientes de ronsiers...). Donc impossible d'y pénétrer et encore moins d'y affuter.
Ainsi j'ai concentré mes éfforts sur les parcelles forestière intermédiaires (entre les plaines et leurs parcelles respectives de remise diurne). En espérant être là, leurs de leurs déplacements.
Cette forêt je la connais depuis des années mais j'avoue que la population de cervidés à fortement baissé dans le temps, il y à 15 ans c'était un paradis !!!.

Vive la politique de gestion de l'ONF !, mais c'est un autre débat...
Le point positif, qui me console , est que je vais surement déménager dans les deux ans à venir dans les landes! :rudolph: .
Un des rares endroits où le comportement des cervidés n'ai pas trop perturbé, car ils brament même la journée.
D'un certaine façon c'est dure de quitter cette forêt où j'ai vu mon premier cerfs à l'âge de 14 ans. Mais d'un autre coté je me dis que cela n'ira pas en s'arrangeant. On observe depuis environ 5 ans une explosion de la population de sangliers au détriment des cervidés (chevreuils, cerfs). Et je pense que dans une dixaines d'années il n'y aura quère de grands animaux dans cette forêt à part des sangliers...
Alors de belles rencontres en perspectives dans les landes, j'en suis sûr !....