Des boeufs dans leur milieu - ou du paysage avec des boeufs ?

[ptiju]

La première est ma préférée, j'aime bien quand il y a en arrière plan ces montagnes. Il n'y a rien qui ressemble plus à un boeuf qu'un autre boeuf, la différence se fait souvent sur la manière dont on arrive à le mettre en scène dans son environnement.

Je tiens à apporter une petite nuance, j'espère que tu ne m'en voudras pas JB. En trois expéditions aux boeufs dans le dovre je n'ai jamais vu un boeuf sur des routes de ce type. Les espaces sont immenses et vierges de quasi toute activité humaine, à condition de ne pas aller vers la base militaire et de s'éloigner de la seule route goudronnée qui traverse ce secteur.

[Jbk]

Merci à tous pour vos messages et partage d'avis divers. J'imaginais bien avant de poster que la présence humaine ne serait pas reçue de la même manière par tous, c'est tout à fait compréhensible en photo animalière, pas de souci pour moi ;-)

Bon pour les remarques sur la période estivale qui ne met pas les boeufs dans les meilleures conditions ... ben voilà vous m'avez énervé, je vais être obligé d'y retourner l'année prochaine à une autre période, c'est malin

...Je tiens à apporter une petite nuance, j'espère que tu ne m'en voudras pas JB. En trois expéditions aux boeufs dans le dovre je n'ai jamais vu un boeuf sur des routes de ce type. Les espaces sont immenses et vierges de quasi toute activité humaine, à condition de ne pas aller vers la base militaire et de s'éloigner de la seule route goudronnée qui traverse ce secteur.

Pas de souci tu peux te permettre ;-) surtout que tu sais de quoi tu parles donc ne te gêne pas. Pour préciser ces clichés ont été pris prêt du sight view donc effectivement dans la zone où il y a les militaires (il y a même une ferme avec d'horribles grillages pour délimiter son espace) et des touristes. Cette zone a pour avantage d'être facilement accessible et de pouvoir croiser les boeufs très rapidement quand la chance est là.
Et sur les jours passés là bas je confirme que le fait d'emprunter les routes n'avait rien d'exceptionnel. Ils se reposaient sur les zones herbeuses mais pour se déplacer ça arrivait souvent qu'ils empruntent les routes. J'imagine que c'est de l'opportunisme pour se fatiguer un peu moins que dans les herbes qui ont un peu de hauteur à cette saison.
Mais ton témoignage ne m'étonne pas car effectivement le Dovre est immense et il y a forcément des zones vierges de toute présence humaine. Je vais en parler à mon dealer de séjours en Norvège pour l'année prochaine et voir si on peut tenter une autre zone