Cette affirmation n'a aucune réalité industrielle.

L'assemblage des objectifs est effectué avec des composants réputés dans les spécifications
A l'issue de l'assemblage, l'objectif passe en banc optique et est bon ou mauvais. Si mauvais, le défaut est détecté (généralement par le dispositif de test et repart sur une chaine pour réparation)
Après cela c'est de la logistique pure et dure.