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Discussion: Sources d'inspiration proxy/macro
Vue hybride
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06/06/2023, 19h26 #1Abonné
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Salut Frédéric , ravi de cette initiative , belle idée ! des galeries plus belles les unes que les autres , m'intéressant à la proxy macro je connais quasiment tous ces auteurs talentueux qui représentent effectivement une belle source d'inspiration !
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06/06/2023, 19h53 #2Administrateur - Fondateur - Propriétaire
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Merci d'avoir partagé cette liste de photographes talentueux dans le domaine de la proxy/macrophotographie.
Explorer le travail d'autres photographes peut être une précieuse source d'inspiration pour les photographes aspirants. Chaque photographe a sa propre vision et son style uniques, ce qui peut nourrir notre créativité.
Il est vrai que chaque photographe a ses propres paramètres à prendre en compte, rendant difficile la reproduction exacte des images des autres. Certains photographes peuvent aussi être réservés quant à partager leurs techniques. Cependant, cela ne doit pas nous décourager, car l'observation et l'inspiration tirées du travail des autres peuvent être bénéfiques.
Trouver un équilibre entre l'exploration du travail des autres et l'exploration de notre propre environnement est essentiel. Cela nous permet d'élargir nos horizons, de développer notre propre style artistique et d'expérimenter avec notre propre équipement et environnement.
En somme, il n'existe pas de réponse unique pour devenir un meilleur photographe. C'est un voyage personnel et créatif où nous puisons dans différentes sources d'inspiration pour développer notre propre vision artistique et capturer le monde à travers notre objectif.
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07/06/2023, 11h32 #3Abonné
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07/06/2023, 16h03 #4Abonné
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07/06/2023, 17h39 #5Abonné
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Coucou Fabrice, je ne suis pas étonné qu'avec ton intérêt penchant grandement vers la proxy/macro, tu connaisses déjà une majeure partie de ces auteur(e)s. Pour ma part, je dois dire que celui qui m'impressionne le plus, c'est Emmanuel Graindépice, car tout d'abord, il pratique ce que j'essaie de faire avec mes oiseaux d'eau, du fine art, appliqué à la macrophotographie, mais surtout parce que partout où je regarde toutes sortes de concours, sur Facebook, à la FPF, à Cupoty, etc... son nom et ses photos ressortent toujours. Cela dénote d'une régularité et d'un professionnalisme sans faille, c'est vraiment admirable pour moi. A noter que Marcel a rappelé l'existence de Jean-Pierre Bertrand alias JP60, mais il y a eu dans le passé d'autres photographes sur EOS-Num qui peuvent être source d'inspiration dans ce domaine

Bonjour Baylins,
Oui, il n'est pas de réponse unique, ni même de chemin unique pour devenir un meilleur photographe. C'est un voyage personnel et créatif où chacun emmène avec lui différentes influences, des influences qui sont parfois en nous depuis longtemps, depuis l'enfance. Et effectivement, il faut trouver un équilibre entre son propre style et ce que la curiosité peut nous pousser à découvrir chez d'autres. Il faut travailler à établir son style personnel, mais il faut aussi ne pas hésiter à regarder le travail des autres, que ce soit au travers du web, d'un livre ou d'une exposition. Selon nos propres sensibilités certains travaux ne retiendront pas nécessairement notre attention, mais d'autres peuvent avoir au contraire l'impact suffisant pour faire évoluer notre trajectoire.
Il faut donc travailler, car c'est sa pratique qui permet au photographe d'établir son style, et ne pas le faire avec des œillères. Il faut laisser notre subconscient, notre intuition, définir ce qui peut être bon à incorporer ou pas dans notre travail. Il est long le chemin pour développer, définir sa vision artistique, et quelque soit le domaine photographique, il me paraît utile de rappeler que ce sont les heures passées à photographier ses sujets, et aujourd'hui les heures à post-traiter des images, qui vont définir le photographe. Et là nous sommes tous dans des situations différentes. Des contraintes de toutes natures peuvent s'imposer à nous, et c'est au photographe de les adresser, de les contourner pour continuer sa marche vers l'avant.
Il est à noter, que s'agissant de la liste des auteurs de mon post initial, ils représentent quasiment toutes les régions de France, et même une partie de Suisse (Etienne Francey) ou de Belgique (pour les père et fils Remy), mais étonnamment pas la région que j'habite. Si des personnes se trouvent dans mon cas, j'informe qu'au-delà de l'exploration de son environnement qui est absolument nécessaire, il existe des études des milieux dont a minima les conclusions sont accessibles en ligne. C'est ainsi qu'en fouillant le web à propos du lieu que j'ai rejoint à l'été 2022 et dont je ne connaissais rien, j'ai découvert un inventaire de la biodiversité portant exclusivement sur ma commune et couvrant les années 2019-2021, donc une étude très récente. C'est comme cela que j'ai appris que la commune n'utilise plus de pesticides depuis 2008, et que dans ces lieux que j'ai parcourus en partie à pied (elle fait quand même un peu plus de 17 km2 ma commune...), il y a 421 espèces de flores observées (+ 93 dans la bibliographie), 247 espèces d'insectes observées (+ 34 dans la bibliographie), 100 espèces de papillons de jour, 64 espèces de libellules, 66 espèces de punaises et 2500 espèces de coléoptères. Il faut ajouter des reptiles, des amphibiens, et toutes sortes d'oiseaux, du piou piou aux rapaces, en passant par ma passion, les oiseaux d'eau, ou encore ces perdrix grises ou rouges que je croise lors de mes balades à pied, pour un total de 141 espèces d'oiseaux dont 118 nicheuses. Il y a aussi des chiroptères (10 espèces de chauve-souris), des mammifères (9 espèces), etc, etc... Bref, pour un photographe nature, ce type d'information est un bon point de départ, et pour moi dans le cas présent, je considère qu'il y a tout ce qu'il faut pour marquer la carte de son empreinte photographique. Ce travail de veille ou de curiosité est essentiel pour un photographe nature. Il ne faut pas hésiter non plus à rejoindre des associations nature locales et/ou la LPO, ou encore échanger avec des naturalistes, ses voisins. J'ai mon voisin d'en face qui va me faire découvrir la Loire et tout ce qu'il y a à savoir la concernant sur plusieurs kilomètres demain matin. Bref, échanger avec les locaux, faire connaitre son travail, ne pas hésiter aussi à montrer/donner des images.
Pour terminer sur ces auteur(e)s de proxy/macro, de nature, il est important de rappeler quelques points importants. La créativité qui se dégage de leurs images, est le résultat d'un processus. Plus que le résultat d'un matériel particulier, d'un environnement particulier, ce sont je n'en doute pas, les centaines, les milliers d'heures que ces personnes ont passées sur le terrain, à apprendre le fonctionnement de leur matériel, les caractéristiques saison après saison de leur environnement, et à se former à plusieurs approches du post-traitement, qui leur a permis d'atteindre le niveau qui est le leur aujourd'hui . L'image est souvent ce qui nous est donné à voir, mais ce n'est jamais que le résultat. Or le plus important pour arriver au résultat, c'est le processus, ce sont ces heures de repérage sur le terrain, ces heures de prise de vue, ces heures devant l'ordinateur. S'ouvrir aux travail des autres, ce n'est pas se borner à regarder leurs images, mais c'est rechercher l'intention du photographe au moment de la prise de vue, c'est rechercher ce qui peut avoir été dans une image du ressort du post-traitement et imaginer ce qu'a été ce post-traitement. Il sera alors possible de faire des recherches spécifiques en vue d'acquérir des compétences spécifiques. C'est ce travail qui peut nous permettre de grandir en tant que photographe, et c'est ce que je souhaite à chaque personne amenée à lire ce post.
Bref, au boulot le photographe, la récompense est au bout du chemin
. Et de mon côté, comme je l'ai écrit à Fred plus haut, je m'engage au fur et à mesure que j'investirai des domaines photographiques à partager sur le site des informations, tout en restant disponible pour les questions.
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