Bonjour, c'est vacherouge.

Après m'être fait échaudé par olivierc, j'ai pris un peu de recule et j'ai suivi l'évolution de la discution.

Dans l'ensemble, je suis d'accord avec ce que vous dîtes sur l'histo, sur son utilisation et notament sur ce que dit Guy1961. Je n'irai pas jusqu'a dire que l'histogramme est folklorique, il a un sens.

La confusion se situe peut être dans la définition ou je me suis mal expliqué.

Pour moi, l'exposition est quelque chose de stable en rapport à une lumière générale que l'on exprime en IL ou EV. De là, découle un couple vitesse/diaph qui innonde le capteur ou la pellicule d'une lumière uniforme mais vous connaissez tous celà. Donc, pour moi, je ne peux pas imaginé une exposition représenté par une courbe.

J'ai fait des recherches sur différents ouvrages et sur le net, je peux entre autre vous citer Pierre labe (c'est pas un débutant) et le magazine chasseur d'images et ces gens là me parlent de densité et de pixels (Ail! je l'ai dit...). L'article de chasseur d'images était très clair sur la définition : Histogramme, graphique qui représente toute les densité de l'image. Après il dévellopait sur son rapport avec l'exposition avec des cas très précis qui montraient des graphiques diverses, différent les uns des autres, avec des images pourtant bien exposées (sujet sur fond blanc et sur fond noir).

Quand je dis que mon boulot c'est l'image numérique, c'est pas une blague. Je pose les questions :

Il y a t'il une vision et une définition technique diférente de l'histogramme pour un retoucheur d'image ou pour un photographe?

L'histogramme a t'il une lecture différente sur un boitier ou dans photoshops?

Dans photoshops c'est très clair quant on déplace le curseur sur le diagramme, on voit s'afficher de gauche à droite le niveau de densité et de haut en bas le nombre de pixels corespondant à chaque densité.

J'espère m'être bien expliqué car je comprends très bien ce que vous dîtes mais apparemment pas l'inverse...