C'est possible Olivier que je ne maîtrise pas l'utilisation de l'histogramme, mais il y a dans la vie tant de choses qui échappent à notre entendement et que nous avons en général abandonné ne fût-ce que l'idée un jour de comprendre, par exemple rien que ces êtres qui parfois nous rendent la vie si merveilleuse et en d'autres circonstances peuvent étonnemment nous la compliquer sans que nous puissions en saisir la raison. Mais ceci est un autre sujet.
Voilà ce que je n'ai pas compris sur les cellules et histogrammes
L'histogramme de luminance est une représentation de ce qu'a vu l'appareil. La lumière captée est décomposée en fonction de la luminosité. Ce qu'il a perçu comme plus lumineux est à droite, le plus sombre est à gauche.
Cela ne veut pas dire que le noir est forcement à gauche sur l'histo et le blanc à droite, cela signifie juste que si ils sont distinct le blanc est situé plus à droite que le noir. En cas de sur ou sous expostion grave ils peuvent très bien être perçu comme un seul ensemble et être soit tasés à droite ou à gauche.
Les pics que l'on peut y trouver y représentent les "dominantes" percues par l'appareil.
Lorsque tu mesure l'expo avec une cellule (flashmètre ou posemètre), celle-ci te donne l'exposition qui devrait être utilisée en fonction de la lumière incidente (c'est à dire la lumière qui atteint le sujet). Ceci indépandemment de la couleur ou de la texture de l'objet. C'est ce qui depuis le début de la photo était considéré comme la bonne expo. L'exposition devait être estimée en fonction de la lumière disponible et non en fonction de l'objet observé. Mais peut-être que les anciens étaient dans l'erreur. C'est possible.
L'histogramme tout comme la mesure de l'expo embarquée sur l'appareil mesure donc la lumière réfléchie. Et elle est influencée par les zones sombres ou claires présentent dans l'image. C'est pour cela que l'on a introduit , en son temps, en autre la mesure spot pour ne calculer l'expo que sur la zone de l'image pour laquelle le système doit essayer de trouver l'expo la plus juste indepandemment de ce qui l'entoure. Cela car on s'était aperçu que la mesure de la lumière réfléchie, malgrés tous les prg sofistiqués de calcul ou d'évaluation, posait encore souvent des problèmes.
Lorsque ton objet ne comporte pas de couleurs très lumineuses (claires) l'histogramme n'est pas calé à droite.
Si tu essaye de déplacer l'histogramme vers la droite en par exemple ouvrant un peu le diaphragme, tu effectue ce que l'on peut appeler en photo une sur-exposition. Cela n'a rien à voir avec le dépassement des capacités du capteur parfois aussi, de manière erronée, appellé sur-ex.
Tu peux très bien sur-exposer une prise de vue sans pour cela dépasser ces capacités du capteur et ne pas avoir des zones "cramées".
Dans le cas d'un feuille blanche peut éclairée, que l'oeil aperçoit comme légèrement blanc casé, pousser l'histo vers la droite rend la photo plus lumineuse et la feuille qui pourtant ne présentait pas le blanc "Dash" devient un blanc pétant plus blanc que blanc qui ne correspondant plus à la réalité. Ceci permet d'exploiter au max le capteur et d'aller rechercher des détails dans les zones sombres.
Mais pour pouvoir restituer quelque chose proche de la réalité, il faut une correction supplémentaire dans le post traitement pour réassombrir la prise de vue.
Les mordus du post traitement peuvent ainsi recomposer une photo en modifiant la luminosité différemment par endroit et avoir au final une vue avec pas mal de détails récupérés dans les zones sombres.
C'est déjà ce que faisaient certains chanceux qui pouvaient tirer eux même leurs clichés en NB.
Guy
D'après mes test personnels à ce sujet, je rejoins tout à fait ce que tu décris. C'est ce que j'avais observé sans avoir su poser les mots justes pour l'expliquer.
Maintenant, en complément, je peux rajouter d'après ce que j'ai pu lire, qu'il est préférable de sur-exposer un sujet (sans cramer, ou pas trop) et réduire l'expo au post-traitement (en RAW) pour augmenter le rapport signal/bruit du capteur et ainsi réduire le bruit dans une photo. J'ai fait des tests et c'est vrai que c'est parlant.
Ainsi, une photo calée à droite en 1600 ISO peut très bien, dans certtains cas, présenter autant de bruit qu'une photo à 400 ISO si elle n'est pas calée à droite.
D'après mes test personnels à ce sujet, je rejoins tout à fait ce que tu décris. C'est ce que j'avais observé sans avoir su poser les mots justes pour l'expliquer.
Maintenant, en complément, je peux rajouter d'après ce que j'ai pu lire, qu'il est préférable de sur-exposer un sujet (sans cramer, ou pas trop) et réduire l'expo au post-traitement (en RAW) pour augmenter le rapport signal/bruit du capteur et ainsi réduire le bruit dans une photo. J'ai fait des tests et c'est vrai que c'est parlant.
Ainsi, une photo calée à droite en 1600 ISO peut très bien, dans certtains cas, présenter autant de bruit qu'une photo à 400 ISO si elle n'est pas calée à droite.
Exact. En fait ce sont des artefacts, c'est a dire des aplats créés par le manque de nuances, et ca ressemble a du bruit...
Après m'être fait échaudé par olivierc, j'ai pris un peu de recule et j'ai suivi l'évolution de la discution.
Dans l'ensemble, je suis d'accord avec ce que vous dîtes sur l'histo, sur son utilisation et notament sur ce que dit Guy1961. Je n'irai pas jusqu'a dire que l'histogramme est folklorique, il a un sens.
La confusion se situe peut être dans la définition ou je me suis mal expliqué.
Pour moi, l'exposition est quelque chose de stable en rapport à une lumière générale que l'on exprime en IL ou EV. De là, découle un couple vitesse/diaph qui innonde le capteur ou la pellicule d'une lumière uniforme mais vous connaissez tous celà. Donc, pour moi, je ne peux pas imaginé une exposition représenté par une courbe.
J'ai fait des recherches sur différents ouvrages et sur le net, je peux entre autre vous citer Pierre labe (c'est pas un débutant) et le magazine chasseur d'images et ces gens là me parlent de densité et de pixels (Ail! je l'ai dit...). L'article de chasseur d'images était très clair sur la définition : Histogramme, graphique qui représente toute les densité de l'image. Après il dévellopait sur son rapport avec l'exposition avec des cas très précis qui montraient des graphiques diverses, différent les uns des autres, avec des images pourtant bien exposées (sujet sur fond blanc et sur fond noir).
Quand je dis que mon boulot c'est l'image numérique, c'est pas une blague. Je pose les questions :
Il y a t'il une vision et une définition technique diférente de l'histogramme pour un retoucheur d'image ou pour un photographe?
L'histogramme a t'il une lecture différente sur un boitier ou dans photoshops?
Dans photoshops c'est très clair quant on déplace le curseur sur le diagramme, on voit s'afficher de gauche à droite le niveau de densité et de haut en bas le nombre de pixels corespondant à chaque densité.
J'espère m'être bien expliqué car je comprends très bien ce que vous dîtes mais apparemment pas l'inverse...
Après m'être fait échaudé par olivierc, j'ai pris un peu de recule et j'ai suivi l'évolution de la discution.
Dans l'ensemble, je suis d'accord avec ce que vous dîtes sur l'histo, sur son utilisation et notament sur ce que dit Guy1961. Je n'irai pas jusqu'a dire que l'histogramme est folklorique, il a un sens.
La confusion se situe peut être dans la définition ou je me suis mal expliqué.
Pour moi, l'exposition est quelque chose de stable en rapport à une lumière générale que l'on exprime en IL ou EV. De là, découle un couple vitesse/diaph qui innonde le capteur ou la pellicule d'une lumière uniforme mais vous connaissez tous celà. Donc, pour moi, je ne peux pas imaginé une exposition représenté par une courbe.
J'ai fait des recherches sur différents ouvrages et sur le net, je peux entre autre vous citer Pierre labe (c'est pas un débutant) et le magazine chasseur d'images et ces gens là me parlent de densité et de pixels (Ail! je l'ai dit...). L'article de chasseur d'images était très clair sur la définition : Histogramme, graphique qui représente toute les densité de l'image. Après il dévellopait sur son rapport avec l'exposition avec des cas très précis qui montraient des graphiques diverses, différent les uns des autres, avec des images pourtant bien exposées (sujet sur fond blanc et sur fond noir).
Quand je dis que mon boulot c'est l'image numérique, c'est pas une blague. Je pose les questions :
Il y a t'il une vision et une définition technique diférente de l'histogramme pour un retoucheur d'image ou pour un photographe?
L'histogramme a t'il une lecture différente sur un boitier ou dans photoshops?
Dans photoshops c'est très clair quant on déplace le curseur sur le diagramme, on voit s'afficher de gauche à droite le niveau de densité et de haut en bas le nombre de pixels corespondant à chaque densité.
J'espère m'être bien expliqué car je comprends très bien ce que vous dîtes mais apparemment pas l'inverse...
Ta définition est correcte mais il te manque toujours une dimension de l'histogramme que tu n'as toujours pas intégrée (tu en as cité deux sur les trois)
1 - Verticalement : nombre de pixels pour une luminosité donnée : c'est CA la densité. (regarde la définition de densité dans un dico)
2 - Horizontalement : il s'agit de la valeur de luminosité dans le spectre lumineux accepté par le capteur, depuis la plus sombre a gauche jusqu'a la plus claire a droite 3 - Positionnement de l'ensemble des points sur l'echelle horizontale : exposition
Si tu ne comprends pas, fais toi des schémas, parce que on est encore a expliquer un truc qui est pourtant d'un clarté déconcertante. Et crois moi, les gens de Chasseur d'Images sont d'accord avec ça...
Bonjour, c'est vacherouge.
Donc, pour moi, je ne peux pas imaginé une exposition représenté par une courbe.
et pourtant...
Il n'y a pas que les hautes lumières qui sont exposées.
chaque partie de l'image, dans sa gamme de luminosités et correctement exposée par rapport à sa position dans la gamme de luminosité (la référence restant les HL puisqu'en numérique on expose pour les hautes lumières, cmme en diapo)
Donc cela suffit à pouvoir reprsenter l'expo en deux dimensions
Le diaph choisi ne représente l'exposition que pour les hautes lumières
Mais l'exposition s'étage le long des "diaphs inféreurus" également vers les basses lumières...
L'avantage des 2 dimensions c'est que l'on peut représenter pour chaque nuance lumineuse, combiend e pixels s'y trouvent.
De toutes facons ca existe depuis longtemps dans photoshop.