Bonjour Louis,

Pardonne le retard avec lequel je viens commenter cette photos, mais aussi celles que tu as eu l'amitié de me faire parvenir.
Que te dire, si ce n'est qu'il y a toujours la même émotion et la même sensibilité à fleur de peau qui a fait mon bonheur lors de ton expo en Arles.

Tout d'abord, et tu me l'a expliqué, tu apportes dans cette série une nouvelle dimension, très différente de la précédente. Bien que le traitement soit presque identique.
Je dis bien presque car il y a tout de même de grandes différences.
Tu explores un domaine plus vaporeux, presque incertain, comme un doute ou une incompréhension.
Dans corpus on ressentais un certain fatalisme.

Les lignes dures sur celles ci servent ton propos, si celui ci témoigne d'un enfermement. J'ai pourtant l'impression que le visage ne jaillit pas de la pierre mais plutôt qu'il est absorbé.
A toi de me dire !

Voici pour l'instant ce qui me vient, probablement la suite passera par d'autres voies plus épistolaires

Bien à toi