Bonjour à vous,
André tout à fait d'accord avec toi, Paris devrait appartenir aux vélos et piétons, mais on n'est pas prêt d'y arriver encore.
Patrick, c'est le "bol" de l'instantanné, vite une vision, en place pour la composition, et attendre que le vélo vienne s'y incruster, si possible sans les voitures, et là la chance, deux secondes près et le flot de voitures arrive. Prise en rafale trois clichés toujours, et le bonheur au post-traitement.
Oceane, merci de ta pensée et de t'intéresser à ce travail sur les vélos. J'attends le résultat de tes recherches photographiques.