Traitement poussé rendant l’atmosphère extrême. Si tu ne précisais pas qu'il s'agissait d'une photo de nuit, je me situerais plutôt en une triste journée d'hiver à 17h au bord d'un marré abandonné, la seule trace de vie étant les lumières. En fait c'est plutôt l'abandon que je ressens que la peur en elle-même.

Photo très intéressante, le cadrage est bon mais le titre n'est peut-être pas tout à fait lié à ce qu'on peut ressentir ? Comme Sebleu, je suis curieux aussi de connaître ton secret pour les nuages.

Manu