Tout à fait vrai, et quand je disais que j'allais y revenir j'avais déjà des bribes d'idées qui synthétiquement partaient dans le sens suivant:
la première poignée de porte qui est brillante et bien nette et représente le présent le monde connu, maîtrisé mais souvent négligé et la deuxième poignée floue, incertaine et pourtant tellement désirée qu'elle nous fait oublier ce que l'on a ici et maintenant.