Gougouttes

[Rousillous]

Bonsoir à tou(te)s

@ Marcel :

Deux sorties consécutives avec soleil et rosée sans brume, ça a été 'cocagne' ici pour moi qui n'avais jamais connu ça depuis que je macrote. Pas un souffle de vent avec des éoliennes toutes molles...

Je suis rentré trempé des pieds à la tête (mon sac poubelle toujours au fond du sac photo a été inutile suite au premier tir, trempé qu'il était). Ces deux dernières séances 'flore par défaut' ont été, je pense, deux parmi mes plus beaux plaisirs en matière de photo. J'ai bien rigolé à me tremper le museau dans la rosée et à me rouler dans l'herbe quand j'ai pris la décision de rentrer. Si on m'avait vu, je pense qu'on m'aurait pris pour une parfait idiot !

Je suis parti avant que ne se lève le soleil, et une fois encore, je me suis mis sur le terrain le plus plat que j'ai trouvé sans masque ni devant ni derrière et j'ai profité de ses premiers rayons directs. Je n'apprécie rien de plus que ce fugitif instant pendant lequel mon ombre est projetée à l'infini. Je l'imagine recouvrant des mondes, masquant des soleil et obscurcissant des galaxies (on devient Superman comme on peut). Et puis aussi soudainement qu'elle est partie elle revient vers mes pieds comme pour s'excuser d'être partie si loin et de ce qu'elle a fait !

Tout compte fait, malgré mes coups de 'blouzze' j'adore la macro, ne serait-ce que pour ces moments là pendant lesquels j'assume le délire qui m'est offert.

[Gemire]

Bonsoir à tou(te)s

@ Marcel :

Deux sorties consécutives avec soleil et rosée sans brume, ça a été 'cocagne' ici pour moi qui n'avais jamais connu ça depuis que je macrote. Pas un souffle de vent avec des éoliennes toutes molles...

Je suis rentré trempé des pieds à la tête (mon sac poubelle toujours au fond du sac photo a été inutile suite au premier tir, trempé qu'il était). Ces deux dernières séances 'flore par défaut' ont été, je pense, deux parmi mes plus beaux plaisirs en matière de photo. J'ai bien rigolé à me tremper le museau dans la rosée et à me rouler dans l'herbe quand j'ai pris la décision de rentrer. Si on m'avait vu, je pense qu'on m'aurait pris pour une parfait idiot !

Je suis parti avant que ne se lève le soleil, et une fois encore, je me suis mis sur le terrain le plus plat que j'ai trouvé sans masque ni devant ni derrière et j'ai profité de ses premiers rayons directs. Je n'apprécie rien de plus que ce fugitif instant pendant lequel mon ombre est projetée à l'infini. Je l'imagine recouvrant des mondes, masquant des soleil et obscurcissant des galaxies (on devient Superman comme on peut). Et puis aussi soudainement qu'elle est partie elle revient vers mes pieds comme pour s'excuser d'être partie si loin et de ce qu'elle a fait !

Tout compte fait, malgré mes coups de 'blouzze' j'adore la macro, ne serait-ce que pour ces moments là pendant lesquels j'assume le délire qui m'est offert.

, , !

Gérard.