Bonjour,

Merci de toutes vos réponses et de vos commentaires très sympas

Il est vrai que des instants comme cela font passer les heures de repérages et de préparation.

Pendant la (petite) minute que dure la prise de vues, ça tourne très vite :
  • Après les premières prises de vue, un peu fébriles, on essaie de se calmer et de "souffler" pour ne pas revenir, une fois de plus avec des photos ratées bêtement (choix malencontreux de réglages, MAP hasardeuse,...). Nota : les trois premières photos de la série complète ne ressemblent à rien.

  • On prend un peu de temps, on réfléchit, on assure. Et on commence à se dire qu'il est bien près, celui-là,... On se dit qu'il est seul et qu'il y a plus de chance qu'il choisisse donc la fuite. Et pendant ce temps, le cerveau technique et les doigts continuent leur boulot

  • Un peu rassuré sur les photos et le risque physique, on entend DERRIERE SOI des bruits de feuillages :goodluck: ,... Le cerveau sécurité prend le dessus, on se retourne lentement : il n'y a rien, et puis quand on revient au sujet : il est parti vivre sa vie de bête sauvage, loin des photographes abusifs :clown:


Il reste une vérification un peu angoissée sur l'écran arrière, puis le retour avec l'espoir que sur les 15 photos prises, il y aura ce qu'on espère,...