Re,

Dans la ballade de l'espace Rambouillet toujours, la rencontre avec le maître des lieux. Il faut le dire, il est difficile de ne pas "ressentir" sa puissance lorsque vous les croisez. Ma dernière visite des lieux m'avais permis de le croiser mais sans les bois, il n'avaient qu'un petit mognon sur la tête pour la plupart des mâles, et cela change vite le ressenti. Là avec des bois accérés vous sentez vraiment qu'on n'est pas armé de la même manière.

Cependant c'est assez particulier. Autant tout un tas d'habitant de la forêt fuient rapidement à votre arrivé, lui non, on sent qu'il ne vous craint pas, qu'il estime qu'il calcule la menace que vous representez mais qu'il lui suffit de vous regarder pour que se soit vous même qui décidez de où se trouve la limite.

C'est un vrai bonheur de le voir, cela vous fait boum boum dans la poitrine. J'ai pu assister de loin à quelques "frictions" question de dire qui est le patron, et quelques brames ici et là, cela bouge déjà beaucoup de ce côté

Quelques souvenirs de cette ballade :
1- le patron c'est lui


2- là il me calcule et visiblement j'ai pas l'impression qu'il est inquiet


3- il m'aurait vu que cela ne m'étonnerais pas


4- là par contre lorsque c'est lui qui ne vous a pas encore vu et qu'ils arrivent vers vous un peu camouflé sous un arbre, c'est vite la panique


5- un dernier regard


En tout cas c'est toujours plaisant de les rencontrer et de ressentir cette force, mais il faut savoir respecter son térritoire, il n'est pas question de le rendre nerveux dans cette période de "châleur", il ne faudrait pas qu'il pense que je vienne courtiser son "harem", le combat bois acérés contre monopod ne devrait pas tourner en faveur du photographe
Cependant en s'approchant à petit pas sans gestes brusques il vous tolère à des distances de 400mm plein cadre sans pb et probablement plus mais j'avoue ne pas avoir voulu pousser le bouchon ....

Merci à vous