La courroie idéale (selon moi bien sûr :)

[geo18]

"pas de liens commerciaux" : ok ! Vachement intéressant quand on veut donner le lien vers un fabricant ...
Bref, je ne cite pas de marque. Sachez juste que son nom composé de deux mots anglais fait référence au soleil et à un tireur d'élite;
Voici juste ma conclusion, à l'usage de cette courroie que je ne citerai pas :Cette courroie se caractérise par le fait que l’appareil coulisse librement le long de celle-ci.
Ceci a pour effet que le coussinet rembourré d’épaule reste toujours à sa place, quelque soit le mouvement effectué par l’appareil par rapport au corps du photographe.
Ainsi, le prendre de la main droite (pour un droitier) pour le porter à l’œil se fait d’un seul mouvement, sans que le frottement de la courroie n’interfère.
Description : la courroie se compose des éléments suivants :
1- une vis de fixation au pas standard, avec robuste rondelle de caoutchouc, dotée d’un anneau fermé.
Cette vis se serre « à mort » sur le boitier (ou la semelle de l’objectif ) Le caoutchouc s’écrase et assure une fixation sans surprise.

2- Une pièce combinée : anneau+émerillon+ mousqueton avec cylindre de verrouillage. Ce mousqueton s’attache à la vis de fixation précitée en 1. L’émerillon assure une rotation totalement libre du boitier autour de la courroie. Donc, plus jamais de torsion de courroie. Ainsi, le coussinet d’épaule reste en place.
L’anneau est passé dans la courroie où il coulisse librement.

3- Une courroie de belle longueur, ajustable grâce à une boucle auto-serrante. La longueur en excès se dissimule sous le velcro qui se trouve sur le dessus du coussinet d’épaule.
4- Le coussinet est doté d’un petit amortisseur de tension et un fin cable d’acier est dissimulé dans l’âme de la courroie.
Types de portage : la courroie est proposée pour un port en diagonale, « en bandouillère ». La longueur suffisante permet, selon les goûts, de laisser l’appareil reposer dans le dos, dans la cambrure de la taille, au dessus des fesses. En tout cas, on peut aisément tirer l’appareil vers devant soi, d’une seule main.( déplacement dans une foule dense).
Port à l’épaule : le coussinet cintré permet aussi le portage classique , laissant l’appareil pendre à l’épaule. La prise pour photographier reste aisée, le boitier coulissant sur sa courroie sans mouvement de coussinet, ni traction sur les vêtements.
En ce cas, on raccourcit bien évidement la longueur.
Port autour du cou : reste possible mais correspond moins au but de ce dispositif. Seul avantage : un boitier avec flash cobra pendra plus naturellement, « tête en bas ».
Petit avantage supplémentaire : les mains empoignent mieux le boitier, les attaches classiques de courroie étant vides. En outre, le cadrage vertical est plus aisé.

Puisque les liens commerciaux ne sont pas les bienvenus, récupérez les photos et mettez un lien.
Pour l’idée de départ, j’ai flingué un écran avec ce genre de montage, choc dans le sac depuis c’est du fixe en Néoprène sur chaque boîtier

[Bideul]

Tu parles de mon idée ?
Peux-tu nous en dire plus sur les causes de cet incident ?

[geo18]

Tu parles de mon idée ?
Peux-tu nous en dire plus sur les causes de cet incident ?

Tout simplement, le mousqueton c’est trouvé au contact de l’écran supérieur et comme le boîtier était introduit en position sur champ, l’ensemble c’est trouvé compressé en marchant.