C'est vrai, nous vivons ce type de situation un peu partout dans le milieu associatif et c'est d'autant plus visible que le nombre de bénévoles ne se bouscule pas au portillon.
En tout cas, dans la situation présente, j'ai le sentiment que notre patience bienveillante est le meilleur soutien que nous puissions apporter à notre "chef" blessé.