Bonjour.
Je m'invite dans votre discutions, non pas pour postuler mais pour réagir à vos commentaires.
Ayant pris pas mal de photos en argentique à partir de différents hélicoptères et avions légers dans les alpes et ailleurs (plus de mille heures de vol) je crois qu'il y a quelques éléments à rectifier.
Une fois embarqué, plus question de se dessangler, cela limite pas mal les mouvements pour les prises de vues .
Une place coincée entre deux à l'arrière, impossible de photographier, sauf les casques des deux de devant.
Un hélicoptère vibre, certains sont acceptables, d'autres pas.
Deux exemplaires d'un même modèle auront des comportement très différent, cela provient du réglage de la voilure, Yann Arthus Bertrand avec ses gros moyens devait avoir un modèle réglé aux petits oignons.
Bien que n'ayant pas l'expérience sur ce sujet, je ne crois pas que la stab puisse remédier, plutôt la vitesse, assez facile à obtenir avec les boitiers modernes moi c'était en diapo, donc 100 asa.
Attention, comme toutes prises sur la neige, la mesure sera faussée, encore plus que pris du sol.
si les plexiglas ne sont pas pourris, les prises à travers ne sont pas mauvaises si on a le soleil dans le dos.
C'est normal qu'à cette époque les portes restent fermées, le froid est cumulé avec la vitesse et c'est vraiment glacial.
Vous allez vous trouver comme pour les safari, il faudra être du bon coté.
Le temps de vol est compter des la mise en route du moteur, le décollage,l'aller, le retour ,le poser, tout cela en une heure, ne laisse pas beaucoup de temps sur la destination.
Voila pour les problèmes en hélico.
Pour ma part, si je devais faire ce tour, ce serait en avion léger, j'en ai fait pas mal aussi, bien moins cher à l'heure, qui ne vibre pas, possibilité d'être le seul passager et de prendre facilement par les ouvertures à glissières, l'idéal étant ceux à ailes hautes avec une bonne voilure.
Bonnes photos à tous