Citation Envoyé par canon33 Voir le message
Salut Frédéric , je ne possède pas ce R1 de mon coté non plus et je ne pense pas que le gap par rapport au R3 en vaille le coup , pour ma pratique du moins ... Ceci dit j'ai lu à nombreuses reprises que l'AF avait été clairement amélioré et que R1 et R5II était au dessus que les modèles antérieurs ...D'ailleurs sur la dernière mise à jour ils auraient amélioré le problème que tu cites avec des éléments au premier plan qui pourraient venir perturber l'AF, ils donnent l'exemple du photographe derrière un filet où l'AF ne se ferait plus avoir ( ou moins avoir ...) , est ce que cela fonctionnerait mieux avec des gouttes d'eau ou des flocons , à voir ...
Oui R1 & R5II ont des vitesses de lectures meilleures que R3 & R5 pour parler des boitiers dont nous sommes équipés et bien sûr le R1 bénéficie aussi d'un buffer à l'état de l'art. J'ai vu passer les informations relatives à un filet (et même vu des vidéos je crois), mais je ne suis pas certain que cela adresse la problématique spécifique des éléments dynamiques que sont les flocons ou les gouttes contrairement à un filet qui pour autant qu'il soit gênant est plutôt statique. Concernant le suivi de l'AF du R5, je peux ajouter aussi qu'il a tendance à quitter un escrimeur pour accrocher les bannières lumineuses qui se trouvent derrière l'athlète (rien de nouveau ici à aller chercher l'élément le plus lumineux, hélas), et qu'il a contrario beaucoup de mal à accrocher un Ibis Falcinelle en vol qui sera très sombre si photographié du dessous, car le dessous des ailes est noir. Bref, ces boitiers représentent des avancées indéniables mais pour qui les utilisent dans des conditions de prises de vue dynamique, le suivi part souvent ailleurs que souhaité. Je ne rencontre évidemment pas de problème pour un sujet statique, situation dans laquelle, le suivi de l'œil fait des merveilles y compris pour un escrimeur casqué. Il faudrait que j'aille voir Canon sur un salon, en octobre par exemple pour le salon de la Photo, mais j'ai un peu la flemme de me rendre à Paris, je dois bien l'avouer.