Normalement avec une bonne expo bien calée à droite à la limite du "perçage", le 70D encaisse les 12800 avec plus de facilité et un véritable résultat exploitable, les aplats aquarellistes n'y seront plus (mais je rappelle que le 50D était un des premiers aps-c à aller si loin, voire, le premier). De mon point de vue, c'est à cette sensibilité qu'il apporte un plus par rapport aux 18mpx précédents (70D versus 7D/650D...). Capteur, électronique et processeur ont forcément évolué. Comme on a un signal plus propre, on a une meilleure latitude de travail.

De mes propres observations, et contrairement à ce que qu'affirment certains en se basant essentiellement sur les notes globales de DXO et sans ouvrir ni même maîtriser les données détaillées fournies dans les onglets, même pour un photographe moyen en pdv et assez léger en post-traitement comme moi, depuis le 30D on a gagné un step franc à chaque nouveau boîtier, à compétences égales... Souvent ceux qui parlent d'enterrements, de fossés et d'autres mondes, oublient qu'ils partaient de très loin, en jpeg boîtier mal paramétré et mode vert avec un cul de bouteille au bout... Forcément, passer d'un 400D+18-200 de premières générations en jpeg de base et tout auto à un 6D+24-105 en raw + M sous LR5, ça fait des différences, de là à affirmer que le FF enterre l'aps-c, je crois qu'il y a quelques nuances et précisions à apporter... (je n'invente pas ces anecdotes, je les ai lues ici même, cette année...)