Bonjour,

Fabien (fg06) a bien fait de pondérer/compléter mon avis et surtout de prendre le temps d'apporter plus de matière. Mon avis n'était qu'un exemple. Dans le contexte où toi l'auteur du post tu sembles exprimer une déception, la phrase pertinente de mon message était de savoir si tu avais été le maître d'ouvrage de l'ensemble. Comme le dit Fabien, pour ne pas être déçu, il faut tester. Pour le budget, il faut savoir quelle est la destination de l'image. Est-ce pour moi, est-ce pour exposer (localement, festival régional, national?), est-ce pour vendre (de grosses quantités abordables ou de faibles quantités très chers?). C'est très différent. Mais à mon sens le tirage est une compétence que le photographe doit dans tous les cas acquérir en vue justement d'obtenir ce qu'il souhaite et d'éviter la déception. Cette compétence globale intègre différents choix comme l'a illustré Fabien :

- le papier (beaucoup de choix selon la destination)
- le type d'impression (beaucoup de choix selon l'imprimeur et la chaine de traitement de l'image du photographe)
- le support (beaucoup de choix, rien que pour l'alu-dibond, il y a d'autres approches que le brossé, différentes épaisseurs)
- la couverture
- le type d'encadrement
- le système d'accrochage
- le système de numérotage et de certification (ne concerne que celui qui vend)

Au final, pour moi du moins, c'est très différent selon qu'il s'agit de se faire plaisir, de prendre des engagements vis à vis d'un festival, ou de vendre ses images en tant qu'artiste photographe. La destination devrait guider le budget, mais selon les cas c'est le budget qui déterminera tout. Mais même une fois le budget déterminé, de nombreux choix restent à effectuer. Donc pas de dogme comme l'a précisé Fabien, mais prise en main du sujet par le photographe, et tests à effectuer pour éviter la déception. Bonnes impressions et bon week-ends

Et merci à Fabien d'avoir pris le temps de m'avoir pondéré/complété