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Discussion: Du Raw au Jpg
Vue hybride
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16/10/2014, 11h34 #1Membre
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Bonjour Emmanuel, c’est vrai que je n’ai pas approfondi mais voici un peu de lecture et encore du texte et du texte LOLLLLL
Je suis très mauvais pédagogue, aussi pardonne moi certaines lourdeurs et longueurs.
Là on parle bien plus de la profondeur et tu auras une meilleure vue (façon de parler n’est-ce-pas)
Raw ou Jpeg ???
RAW ou JPEG ?
Bien comprendre le Raw et ses subtilités !
Raw? Comprendre le format RAW
Les réglages classiques en JPEG sont différés et leur contenu est enregistré dans le fichier, ce qui donne moins de travail au photographe. Mais le RAW présente de nombreux avantages par rapport à JPEG.
Meilleure qualité d'image. Tous les calculs utilisés pour créer les valeurs des pixels sont effectués en une seule fois sur les données de base, ce qui a pour conséquence une meilleure précision et moins de postérisation.
Contournement des étapes non désirées, comme l'accentuation et la réduction du bruit numérique.
Fichiers compressés sans pertes (voir Compression d'image).
Meilleure maîtrise du processus. Le logiciel de conversion RAW permet de manipuler plus de paramètres avec plus de souplesse. Par exemple, le point blanc peut être fixé à n'importe quelle valeur et non préréglé à des valeurs discrètes comme « lumière du jour » ou « incandescent ».
Dans les fichiers raw, l'information sur la luminosité est codée sur 12 ou 14 bits au lieu des 8 bits avec compression du gamma du JPEG (et généralement aussi du TIFF). Comme les données ne sont pas encore rendues et ajustées sur un gamut, il y a plus de précision disponible dans les hautes lumières, les ombres et les couleurs saturées.
L'espace colorimétrique peut être choisi arbitrairement.
Divers algorithmes de dématriçage peuvent être utilisés.
Les fichiers raw contiennent plus d'information de meilleure qualité que les résultats après conversion où les paramètres de rendu et le gamut sont fixés, ce qui élimine les artefacts de quantification et de compression.
Des transformations importantes des données, comme l'augmentation de l'exposition d'une photo sous-exposée de manière significative, créent moins d'artefacts tels que la postérisation.
La profondeur des images sauvegardées en Jpeg est de 8 bits, ce qui peut sembler largement suffisant dans la mesure où aussi bien les écrans qui nous permettent d’afficher nos images que les imprimantes qui nous permettent de les matérialiser sur du papier ont déjà le plus grand mal à reproduire les 16 millions de valeurs chromatiques possibles d’une image 8 bits. On délivre d’ailleurs habituellement au client des images d’une profondeur de 8 bits, même lorsque l’on utilise un format de fichier tel que le Tiff qui peut coder sauvegarder les images en 8 comme en 16 bits.
Cependant, le Raw des appareils réflexes récent, permet d’enregistrer ses images sur 12 ou 14 bits et Photoshop (et d’autres bien sur) permet de les traiter au choix dans un espace 8 ou 16 bits.
Ces informations supplémentaires, à priori non visibles à l’œil, sont en fait nécessaires.
A la prise de vue, parce que l’on pourra tirer d’un fichier Raw des détails dans les hautes, moyennes et les basses lumières ainsi que dans les dégradés de couleur qui sont absents du fichier Jpeg généré par l’appareil.
Pour le traitement digital de l’image, parce que lorsque l’on va retravailler son image dans Photoshop, on va supprimer une partie des informations disponibles, et moins on en a au départ et moins il en reste à l’arrivée.
Espérant ne pas donner des maux de tête,
Bonne compréhension
Didier
PS : merci à Celestyx de son intervention juste ici dessus pendant que je rédigeais ce message :-)
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