Pour chaque image, il faudrait faire une mesure des valeurs d'exposition des hautes lumières puis des basses lumières (mesure spot).
Cela permet de déterminer l'écart d'exposition en IL (EV) entre les valeurs extrêmes.
Ainsi on peut s'assurer que cet écart ne dépasse pas la plage dynamique du capteur, environ 10 IL (à 14 IL maxi) alors que l'oeil humain peut apprécier jusqu'à 24 IL .

Ensuite, dans le cas d'une photo à simple exposition, il faudrait exposer cette photo avec le couple vitesse/diaphragme correspondant à la "moyenne" de ces deux extrêmes : --> travail en mode M.
On fixe le diaphragme ; on ne joue que sur la vitesse et surtout on met l'appareil sur une trépied !

Mais même en RAW, on ne peut pas faire "des miracles"...

D'où l'utilité de travailler en HDR, lors de grands écarts de dynamique, avec un bracketing à 5, 7 voire 9 images exposées à +/- 2 IL (EV) de la valeur "moyenne".