Il faut également définir ce qu'on appelle la netteté d'un sujet mobile, of course. Et le degré de qualité de la photo finale. Et le temps dont on dispose pour préparer !
Quand je réalisais des photos de F1, F2 et Sport-Prototype ( au siècle passé ) , on choisissait son emplacement en fonction des possibiliés de l'époque : un 28 ou 35 en intérieur de virage (bord de piste, oui oui ) ; un 90 pour les pelotons et un 200 (pour les riches qui vendaient bien leur cliché) pour les vues de face. Je prenais mes repères à l'avance et, à force, je connaissais les réglages préalables de "mes" coins.
Maintenant, je devrais prendre à la volée, en rafale, au 400mm ... depuis des zones de recul, derrière des rails et des grillages !