le tout c'est de savoir où on commence et où on s'arrête - si tu reviens au temps des pellicules de 400 asa qui étaient déjà considérées comme rapides du temps de ma folle jeunesse, on peut dire qu'à cette époque là, c'était un sacré progrès comparé aux chambres claires, leurs négatifs au collodion et leur temps de pose de quelques secondes....

on fait quand même plein de clichés actuellement et de manière routinière qu'on ne pouvait pas faire avant.

après, c'est une question de choix purement individuel - quel compromis est-on prêt à faire entre attentes, possibilités techniques et financières... et qui dit individuel dit aussi forcément subjectif....