OUi, ça c'est prévu le cadrage/décadrage.. comme je ne fais quasiment que ça quel que soit l'objectif, ... faudra en effet une petite prise en main mais ça ne me fait pas peur.
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OUi, ça c'est prévu le cadrage/décadrage.. comme je ne fais quasiment que ça quel que soit l'objectif, ... faudra en effet une petite prise en main mais ça ne me fait pas peur.
Bonjour,
D'accord sur le principe.. par contre imaginez une partie de pelote basque (que j'adore photographier)... avec 2x2 joueurs qui bougent à fond, et la pelote à 300 km/h..
Quand j'active tous les collimateurs, ils s'affolent de ne font jamais la map sur le joueur (ou la partie de joueur) que je veux....
Donc au fil du temps, j'ai pris l'habitude de ces cadrages/décadrages, ce qui me permet de bien choisir moi-même sur quoi je veux que la MAP soit parfaite...
Et en réalité, très très peu de déchet.. c'est devenu une seconde nature, je cadre/décadre super vite, je ne m'en rends même plus compte
Ce qui ne signifie pas que j'aie raison de le faire en toute circonstance, je n'entends pas faire école sur le sujet... mais c'était donc pour vous expliquer d'où était venue cette habitude :-)
Il faut aussi relativiser, l'écart de mise au point n'est pas énorme si on ne décadre pas de manière énorme.
Ceci étant, tu as la possibilité avec tes boîtiers de changer de collimateur.
Personnellement, c'est ce que je fais, surtout en conditions sportives. C'est vrai que ça demande de faire beaucoup de changements de collimateur et d'anticiper les cadrages en fonction des mouvements mais je pense que c'est préférable à décadrer (d'autant plus que le sujet se déplace rapidement).
Le 85 est très bon sur un aps-c comme mon 40d donc sur des 7d et 70d il devrait aussi très bien fonctionner à priori.
Par contre cela signifie un equivalent 135mm en FF ce qui en soit est bien pour du potrait pas trop rapproché si on préfère mais pour de la photo de reportage ça peut coincer...
Il est certain que je ne vais pas faire ma MAP à un bout du terrain pour revenir ensuite sur un joueur qui est à l'autre bout, sinon il aura trop bougé, là on est parfaitement d'accord... mais même sur une grande ouverture, quand tu imagines, si on reprend l'exemple de la pelote, que je me trouve entre 20 et 40 m des joueurs, selon l'endroit où j'ai pu me glisser sans trop de risque pour ma peau, faire un cadrer/décadrer sur le joueur au centre pour ensuite me le replacer sur le bord du cadre ne prend qu'une fraction de seconde...
Je ne suis jamais parvenue à changer de collimateur actif aussi rapidement...
Mais à nouveau, certains y arrivent sans doute mieux que moi, là c'est tout à fait possible..
je crois qu'on se crée au fil des années des habitudes de travail qui sont certes perfectibles, mais qui nous conviennent et deviennent tellement automatiques et instinctives qu'il est ensuite difficile d'en changer. Bien sûr si je ne sortais que du flou je finirais par m'inquiéter :-)
Bon, et avec ça si je vous ai donné l'eau à la bouche avec ma pelote basque, c'est par ici :
PELOTE BASQUE - joelleverbrugge
Et vous arrivez, tous, à changer de collimateur les yeux fermés et super rapidement ???????????
Euh... oui mais non... on (je) n'active jamais tous les collimateurs. A moins de faire aveuglément confiance à ce que crois deviner l'appareil :)
Soyons honnête, à 20m tu n'auras jamais de problème de màp lors d'un recadrage :)
Je vais me répéter "Avec des grandes ouvertures et une màp rapprochée".
Ensuite n'ayant pas d'AF particulièrement véloce et ne faisant pas confiance aux collimateurs périphériques pour des photos typées sport, je pratique le recadrage post-traitement, c'est encore plus rapide pour la prise de vue. Surtout qu'avec la réserve de pixel que procure un 7D ça serait dommage de s'en priver.