A cette époque, le critère de choix principal de la pellicule était la sensibilité ASA/DIN.
Non, je dirais d'abord
1. couleur ou NB (oui, ça existait! Il fallait faire le choix avant et c'était définitif.)
2. la sensibilité
3. le rendu couleur (les afficionados du Kodachrome face à Agfa, Fuji et plein d'autres)
4. et la résolution (et oui, à la fin, certain choisissaient une pellicule haute résolution pour la repro. Les hautes sensibilités et les développements poussés n'offraient pas une résolution si élevée).
Pour en revenir au sujet du topic...
Il me plaît bien, ce sujet.
Il rejoins dans l'esprit mon avis souvent répété sur certaines optiques souvent décriées ou délaissées. Un bel exemple, ce 100mm/2. Abordable et au rendu parfait pour le portrait. Ne jouissant pas des meilleures cotes, il n'apparaît pas souvent dans les discussions.
Et là, on en revient à l'éternel débat: comment discuter d'une optique qu'on a pas essayé?
Un exemple? J'ai entendu tellement d'avis dithyrambiques sur le 17-55 que je me suis laissé tenter. C'est vrai, il est très bon, mais il n'écrase pas le 15-85.
Quand on possède les deux, on est beaucoup mieux placé pour en parler.
J'appuierais donc Thomas dans sa démarche car il semble posséder une d'optiques étoffée.
Tout est donc dans la nuance. Et la nuance, ça s'exprime très mal en chiffres.
Regardez une partition de musique. Tout y figure. Seules les nuances sont sujettes à interprétation. Et c'est la que le vrai musicien apparaît.