C’est la même chose pour les marmottes dans les alpes, pourtant, juste un peu de patience et les photos sont possibles, mais une carotte ou autre chose et elles mangent dans la main.
Chez elles, c’est surtout le coté digestif qui est perturbé, au point d’être parfois mortel.
A trop venter la nature, c’est devenu un commerce important et je ne crois pas que les photographes soient les pires.
Au moment du rut, les cervidés n’ont plus aucune tranquillité, c’est des convois de voitures tous feux allumés qui partent à l’assaut.
Même les pingouins commence à être dérangés par les touristes, ils ne sont pas tous photographes.