Pour moi, les logiciels font partis de la photo.
Avant il y avait l'argentique et ses pellicules, mais il y avait aussi les Polaroïds et ses photos instantanées sans retouche possible.
Quand on sort un Jpeg direct de l'appareil, c'est pour moi, comme si on bossait avec un Polaroïd de l'époque. Facile et photos instantanées sans possibilités de réajustement.
Et à l'inverse, quand on prend la décision de ne sortir qu'un Raw, on prend aussi la décision de travailler ce Raw, comme on pouvait décider de la manière dont on allait révéler sa pellicule.