Choisir la photo pour vivre est un choix. Le maçon ou le peintre en bâtiment est aussi concurrencé par l'amateur qui retape sa maison. Perso les pros agressifs qui pour la raison que c'est leur gagne pain considère que l'amateur n'a pas a faire de photo sur leur terrain de chasse, a oublié qu'il a été un amateur avant ...

La précarité du photographe pro doit être intégré par le gars qui le choisit dès le départ, tout autant que tout métier ou on est indépendant. Si il ne réussit pas à en vivre correctement a son gout, il a toujours le choix de quitter le métier, ou de le faire en seconde activité.