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Les écoles de journalisme sont sur la même voie. Les formations sont souvent bonnes, mais manquent globalement de débouchés (à part pour des remplacements de congés maternité dans des quotidiens régionaux, ce qui est déjà mieux qu'un stage).Citation:
Les universités ont quantités de formations qui conduisent directement à l'ANPE, faute de postes ou faute de pertinence de la formation. Et alors ? Elles existent toujours...
Je pense que tu veux avoir raison, je suis pro dans la photographie et membre d'une organisation professionnelle, c'est pourquoi l'avenir du métier n'est pas aussi catastrophique comme tu le laisses entendre même si chaque jour, il faut se battre pour trouver des clients.Citation:
Envoyé par etmoi
Dans quel domaine ?Citation:
Je pense que tu veux avoir raison, je suis pro dans la photographie
industrie et pub et je rencontre les collègues dans d'autres domaines, je n'ai pas que le métier est facile aujourd!huiCitation:
Envoyé par Noisette
Oui, mais il existe des niches, effectivement... reste à bien les identifier et à anticiper les évolutions.Citation:
je n'ai pas que le métier est facile aujourd!hui
Pour le job d'été, c'est déjà fait. J'ai envoyé 2 CV il y a quelques semaines à 2 magazines photos. Je vais réitérer et tenter chez d'autres aussi. J'avais aussi essayé l'année dernière, mais pas de chance, j'ai été refusé..
Merci Jean pour le lien, j'irai jeter un oeil au mag dans la semaine, et l'acheter si c'est intéressant. Je n'avais pas vu ton intervention comme ça, désolé ;)
En effet, le CAP est une voie comme une autre de trouver un travail, mais bon, je suis déjà à la moitié de ma première, et m'arréter ou commencer l'année prochaine ne me donnerai que l'impression que j'ai perdu 2 ans au lycée..
L'idée d'ouvrir un magasin n'est pas celle qui m'attire le plus. Perso, j'ai un ami de mon frère qui à ouvert une boutique de comics/manga/BD et qui, malgré toute sa bonne volonté s'en sort pas vraiment bien ... Donc forcément, avec un exemple comme ça, ça ne me donne pas envie de me lancer dans la même direction..
Malheureusement , avoir raison ou pas n'est pas la question.Citation:
Envoyé par photogerald
Free-Music nous a demandé pour travailler en tant que reporter photo, et je ne pense pas que l'avenir dans ce métier soit rose.
Par ailleurs, puisque tu fais partie d'une organisation professionnelle, je pense qu'il serait constructif que tu lui indiques les filières dans la photo qui ont encore un avenir réel.
je ne conseillerais pas à un jeune qui est à l'aise en 1ère S de faire un CAP photo, mais ce n'est que mon avis, et pas mon gamin
Je suis d'accord avec toi, je lui conseillerai plus d'aller vers Louis Lumière (entrée sur concours) par exemple qui ouvre plus de porte et d'un niveau bien supérieur à un CAP. Ceci dit la technique photo n'est pas très compliquée en générale, c'est les idées, la créativité et apporté un plus par rapport à un amateur. Une des difficultés du métier aussi, est de voir certains pros aller chez des clients avec du matériel amateur de prises de vues et pratiquement pas d'éclairages (flash de studio)Citation:
Envoyé par etmoi
Je veux pas critiquer mais je pensais que tu étais MOTIVE ? 2 CV seulement pas de lettre de motivation ? en plus envoyé ? envoye en plus, surtout avec le mail, ça te prend meme pas 5min, déplace toi, demande un rendez vous pour voir les responsables en personne, n'y va pas les mains vides mais bien préparé et avec un petit book pour leur présenter ton travail, tes motivations, c'est à toi de faire le nécessaire pour les convaincre, pas seulement lancer des CV dans la nature et attendre que ça te retombe dans les bras, compte pas sur la chance, mais sur tes talents de photographes et de "commercial" pour te vendre ... si tu arrives meme pas ce petit démarchage, oublie le monde pro de la photo AMHA !Citation:
Envoyé par Free-Music
Et puis dans mon message je ne parlais pas de "Job" mais bien de stage, non rémunéré, t'y vas sur ton temps libre dans un esprit d'apprentissage, pour apprendre des techniques photos, le mode de fonctionnement de l'univers photo, et non pour te faire de l'argent de poche, bon après si tu reçois un petit dédommagement c'est un plus ... comme je l'ai dit, on n'est motivé ou pas, et dans le premier cas on se donne les moyen d'y arriver !
(Ce que je dit n'est pas seulement valable pour le monde de la photo)
Avec les commentaires que j'ai lu plus haut je pense que c'est bien cette direction que tu prends, tu vas galéré, en tout cas au début ... après tu l'as dit toi même, ça dépend de ta motivation !Citation:
L'idée d'ouvrir un magasin n'est pas celle qui m'attire le plus. Perso, j'ai un ami de mon frère qui à ouvert une boutique de comics/manga/BD et qui, malgré toute sa bonne volonté s'en sort pas vraiment bien ... Donc forcément, avec un exemple comme ça, ça ne me donne pas envie de me lancer dans la même direction..
PS : désolé si mes paroles peuvent paraitre un peu dur, mais c'est la "triste" réalité, ce sera comme ça surtout dans un monde à forte concurrence, faut arreter de croire que le monde du "spectacle/art et images" c'est une star Academie où il suffit de pousser un peu la chansonnette pour que les millions tombent du ciel, là faut d'abord se retrousser les manches et bosser dur pendant un certain temps avant de récolter le fruit de ton travail !
Non, bien sûr, je n'ai pas envoyé les CV tels quels, il y avait aussi une lettre de motivation. Mais effectivement, je ne me suis pas déplacé. Je vais planifier ça pour les semaines à venir.
Je préfère tes paroles franches et fondées qu'une fausse-vérité à demi-mot, merci pour tes conseils ;)
Une autre formation interessante aussi est celle que procure le CFPJ ( centre de formation des journalistes)
Formation professionnelle continue des journalistes - CPJ > Accueil du centre de formation et de perfectionnement des journalistes
Mais je ne sais pas s'il font dans la photo, en tout cas c'est une formation reconnue dans le milieu de la presse, ça peut etre une piste a explorer, a toi de voir.
Le CFPJ est plutôt un centre de "formation permanente" pour des journalistes déjà en activité. L'école pour aspirants-journalistes débutants s'appelle le CFJ, Centre de Formation des Journalistes (Ecole de journalisme - CFJ Centre de Formation des Journalistes. C'est une formation très, très sérieuse (concours difficile ouvert aux bacs + 2-3 et pour lequel la formation nécessaire est plutôt sciences-po), mais les personnes qui en sortent ont malgré tout du mal à s'insérer sur le marché du travail. Le CFJ étant une école payante, il est important de se renseigner sur les débouchés possibles et l'après-diplôme avant de contracter un prêt-étudiant (les jeunes journalistes commencent traditionnellement à la pige, mais les piges se raréfient et leur montant moyen a baissé). Plus particulièrement destinée aux photojournalistes est l'école EMI-CFD, très réputée également, mais dont les élèves connaissent également des difficultés d'insertion professionnelle car il y a actuellement beaucoup de monde sur le marché (et les écoles se sont multipliées ces dernières années), et pas assez de demandes de la part des médias dont la plupart ne recrutent pas en ce moment (regardez les petites annonces). Il existe une douzaine d'écoles de journalisme reconnues par la profession (donc sérieuses), et c'est beaucoup vu les débouchés possibles, il faut être conscient de cela avant de s'engager pour plusieurs années d'études amha... peut-être une personne exceptionnellement talentueuse peut-elle encore faire son trou, c'est difficile à dire, évidemment.
Ouaip!! Ya de quoi lire!Citation:
Envoyé par babooska
Si on a encore envie de devenir photographe après ça? Eeeuuuuhhhhh!
Disons qu'on a l'impression qu'autrefois, pour les photojournalistes, il était tabou de parler en public de certaines difficultés du métier. Mais depuis deux-trois ans, il semble que même les grands noms de la profession sont parfois touchés (collectif l'Oeil Public qui s'arrête ; photographes de Gamma licenciés ; Anthony Suau, prix Pulitzer et lauréat du World Press Photo Award 2008 au chômage, etc...). Et comme le métier des photojournalistes est justement de témoigner, quand ils décident de raconter les choses, ils le font avec précision. Les articles de ce genre se multiplient :
Photographie | Magazine
Economie Chomage | Journal Photo
Maman d'une fille a fait le même"cursus"que toi; je partage tout à fait l'avis de Norbert 75.Si tu le peux fait une école de photo, si les études ne te plaisent pas, fait au moins un BTS à L Renoir à Paris (attention! tu es pris sur dossier et tu dois présenter un book, seule école d'état et donc gratuite, la sélection est dure) qui te permettra de connaitre correctement et de maitriser la "base" de la photographie et du post traitement et te sera ensuite d'une grande utilité; cela te permettra aussi de voir les différents domaines dans lesquels tu peux t'investir. Mais c'est vrai que c'est la "galère" si tu choisis la filière "artistique" car comme tout artiste, il te faudra une bonne dizaine d'années pour "sortir". Dans d'autre branches, tu peux trouver un job (publicité etc...)Mais l'essentiel est d'être passionné: là tu t'en sortiras toujours.Ma fille fait des petits job pour le coté "alimentaire" et s'éclate dans son art...Actuellement elle est dans un ghetto africain pour faire un reportage et préparer des expo...
En résumé, si c'est ce metier que tu choisis, il va te falloir de la tenacité, du courage, tu connaitras des moments difficiles, de decouragement sans doute, ça va etre dur de chez dur, quelque soit l'ecole que tu prendras, mais si tu y arrive, ce que je te souhaites de tout coeur, tu pourras etre fier de toi, et n'oublie pas de nous faire un signe amical, quand tu sera en train de gagner ton 15 prix international du reporter de l'année :goodluck:
Une derniere piste, je ne sais pas si ça se pratique toujours, mais dans les agences, des photographes avaient besoin d'assistants, aux dires de ce qui sont passés par là, c'etait une bonne école, pas la voie royale certes, mais tres formateur, et tres pratique pour se faire un carnet d'adresses.
Mais ont ils encore besoin d'assistants et est ce aussi interessant a notre époque, ou sans diplome, on n'arrive meme plus a trouver un job de caissiere ???
@Noisette, merci de m'avoir corriger.
Bonzo, ce n'était pas une correction, juste une précision ;o)
Votre idée d'assistanat me paraît vraiment excellente ! C'est certainement la meilleure manière d'apprendre sur le terrain.
Rejeter en bloc les écoles de journalisme sur l'avis d'un seul forumeur, c'est assez radical je trouve. Si tu n'est pas plus intéressé par le journalisme que ça, effectivement, ne tente pas, sinon:Citation:
Envoyé par Free-Music
J'étais comme toi à ton âge, passionnée de photo, mais aussi de journalisme, de cinéma, et de vidéo. J'ai hésité entre une école de photo, de cinéma, ou la fac + école de journalisme.
J'ai finalement opté pour la fac + école pour plusieurs raisons (entre autre que je fais essentiellement du photoreportage et que j'ai davantage un oeil de journaliste que de plasticien, et puis la fac me laissait du temps libre pour faire pas mal de trucs - stages, cours annexes - à côté)
Si tu es passionné de photo ET de journalisme, la meilleure option pour toi c'est de trouver un taff en PQR. Ou les journalistes font très souvent leurs propres photos (pas par choix, par obligation).
Ou alors, tu fais des webreportages (l'avenir du reportage à mon avis, mais où il faut maitriser le son, l'écriture, et l'image, et des notions de montage si possible).
Et pour les deux cas, la meilleure façon reste une école de journalisme.
Je suis ok pour le principe de ton avertissement (ya pas 100% d'embauche dans les diplomés des 12 écoles, c'est sûr). Mais la situation n'est pas si catastrophique, même si elle n'est clairement pas rose. Certes, ce milieu est en crise, et en presse écrite et en radio (surtout en radio), c'est compliqué si tu vises le natio (enfin en radio c'est compliqué partout, natio ou pas). Donc ça dépend où est l'ambition. En PQR, c'est encore jouable.Citation:
Envoyé par Noisette
J'ai fait une école de journalisme, reconnue, et bien côtée (et gratuite). Ca + une motivation inébranlable, c'est le minimum pour tenter d'en faire son métier. Parce que percer dans le journalisme aujourd'hui, sans école bien côtée, ni sans piston très haut placé (et sous réserve d'être quand même un minimum compétent), c'est quasiment impossible. Ou alors en PHR ou en presse pro, et encore (cela dit sans mépris).
Parce que même en sortant d'une école, ca reste compliqué de touver du taff au départ. Mais une école de crée pas des moules, j'avais la même appréhension au départ, et je me suis rendue compte une fois dedans qu'elles nous apprennent surtout à formuler l'information de la façon la plus claire possible (+ formation technique logicielle et matos tv et radio).
Et les stages et le réseau d'anciens permettent de se créer un réseau pro, truc essentiel dans le milieu des médias, où tout marche sur réputation et sur le bouche à oreille. Je n'ai jamais trouvé de travail par le biais d'annonce d'emploi.
Aujourd'hui, je suis JRI par choix (triqualifiée, je cale, tourne, monte mes sujets), je bosse pour des boîtes de prod et des agences de presse.
Pour connaitre pas mal de photojournalistes, certains avec 20 ans de métier dans les plus grandes agences, et je confirme qu'il est de plus en plus difficile de vivre uniquement de la photo de presse. Parce que les journaux sont moins exigeants sur la qualité des photos, et parce que pas mal d'amateurs proposent leurs clichés gratuitement, entre autre. Plus de concurrence, et moins de budget de la part des rédactions qui licencient à tout va.
Certains se tournent vers la vidéo.
Donc à toi de voir. En sachant qu'entrer dans une "bonne" école de journaleux, ça se fait sur concours, qui ne sont pas des plus évidents (4% de réussite pour les plus demandées). Qu'il faut être curieux de tout, et aimer faire des reportages sur tout. Savoir aussi que certains ne trouvent pas de travail, d'autres tombent de haut. Et en vouloir. Beaucoup. Parce que c'est un milieu où l'on ne compte pas les heures, où l'on n'est pas ultra bien payé, et ou l'erreur n'est pas permise sinon tu grilles ta réputation.
Mais c'est passionnant.
Mais si tes modèles son HCB et Capa qui partaient des mois en reportages à l'étranger aux frais de la rédaction, oublie. Ce mode de vie n'existe tout simplement plus. Les reportages de guerre sont de plus en plus faits par des locaux qui ont appris sur le tas et sont payés une misère, et qui sont en première ligne.
A relativiser tout de même, la PQR je connais de l'intérieur également, j'y suis photographe sportif le we en tant que CLP. C'est pas que c'est pas rose, c'est pire ! On a dépassé dans pas mal de quotidiens la simple baisse des ventes, les recettes publicitaires chutent à leur tour énormément, et on y est, depuis quelques mois j'ai assisté à fermeture d'éditions entière, licenciements dans celles qui demeurent pour l'instant (à tous les échelons, journalistes, photographes, techniciens etc...).Citation:
Envoyé par sybank
L'inconvénient des écoles de journalistes de créer des moules, il suffit de voir les jeunes à la télé les même mimiques, mêmes phrasés, souvent aucune personnalité. C'est écoles peuvent faire gagner du temps pour des personnes qui ont de vrai personnalité au départ. On retrouve le m^me problème des grandes écoles style ENA.Citation:
Envoyé par sybank
Chez moi en lisant le Télégramme de Brest, j'ai l'impression que la pub dans les pages locales ont augmenté, perso je ne travaillerai jamais à leur condition: prix bas et refus de signer les photographies en pages localesCitation:
Envoyé par Helios
Pour les prix je ne sais pas, mais c'est une manie de la pqr de ne pas signer les photos, par chez moi c'est pareil, seuls les articles sont signés, alors quand l'ecrivain et le photographe ne font qu'un ça va, en cas contraire, c'est toujours le photographe qui passe a la trappe.
Quand au sort des photographes de presse, c'est clair qu'il est sérieusement mal en point, les journaux et magazines faisant de plus en plus appel aux amateurs (c'est gratuit, et ça flatte leurs egos) voir aux microch.....ce qui n'est pas mieux, mais qui dézingue le metier a tout va.
Un celebre journal gratuit en est le parfait exemple, pas un jour sans passer la petite pub pour appeler les lecteurs a devenir leur agent (les 007 en puissance snt a nos portes)
Je ne suis pas pro, mais ça me troue le c.. de voir un metier disparaitre a cause d'une vue uniquement braquée sur l'aspect financier, l'humain est totalement mis de coté, alors que sans lui, je ne vois ps comment pourrait tourner une entreprise (et il n'y a pas que dans la presse, malheureusement).
à écouter , place de la toile , excellent émission sur le journalisme et internet
France Culture
l'émission du vendredi 8 janvier 2010
surtout à 13minutes20secondes
Euh... Sur les derniers posts, j'ai vu quelques abréviations que je n'aies pas comprises : PGR, PHR, JRI, CPL ? Quelqu'un se dévoue pour l'explication ? ^^
Bref, pour résumer un peu le sujet. Les écoles de photo et de commerce ont chacunes leurs avantages et inconvénients. Le choix se ferai donc plutôt en fonction de ce qui me manque, c'est à dire de la technique photographique ou le sens du commerce.
Face à vos avertissements, je pense que mon choix définitif de faire phtographe ou non se fera après cet été, après avoir travaillé dans le domaine,. Je pense que mon choix sera plus judicieux en connaissant les tenants et les aboutissants du métier.
Merci à tous pour vos conseils/encouragements/avertissements ;)
Je vais essayer de te donner quelques pistes:
PQR = presse quotidienne regionale
CLP = correspondant local de presse
JRI = journaliste reporter d'images
PHR et PGR ????
Qui peut le dire ??
Fouille encore, pose des questions, essaye de rencontrer des correspondants, dans le val d'oise tu a le journal " la gazette du val d'oise" et il doit y avoir une redaction locale du parisien (pour la presse quotidienne)
Sinon, contacte les magazines qui sont dans les domaines photos et reportages qui t'interesse, dit leur ce que tu veux faire et essaye d'aller visiter les redactions, c'est toujours interessant.
Bon courage.
Oui, mais il faut faire vite car, justement, le Parisien est en train de réduire très nettement la voilure. Il y a des licenciements en cours dans les antennes locales (c'est le troisième - et pas le dernier - plan de réorganisation cette année : "Le Parisien" va licencier au moins 35 salariés - OZAP.com).Citation:
il doit y avoir une redaction locale du parisien (pour la presse quotidienne)
L'art "s'apprend" et se découvre, à l'école, sur le tas ou de façon totalement autodidacte. Il n'y a pas d'age limite. A chacun sa meilleure solution.
Vivre de son art est tout autre chose, il faut aimer la galère ou avoir au départ un autre "vrai" métier.
Mais être un précurseur/innovateur sera de plus en plus dur.
L'extraordinaire démocratisation de la photo numérique rend la concurrence entre les "futurs élus" encore plus grande et fait mourir en parallèle à grand feu une bonne partie des différents métiers de photographe..
Cela a été pareil pour les maréchaux-ferrants et les ramasseurs de crottin avec l'arrivée de l'automobile.
RIP. Une larme pour eux ? :D
Je vois ce que vous voulez dire. Néanmoins, je ne pense pas que ce soit le meilleur exemple car les maréchaux-ferrants sont actuellement très demandés (tellement que dans certaines régions, ils sont débordés face au développement de l'équitation de loisirs). Bref, de toute façon, ça nous éloigne vraiment beaucoup des métiers qui tentaient Free Music au départ.