Distribution de mes photos sur DVD pour une assos...

[briceos]

Certes.

La question est plutot je pense de se prémunir des utilisations "commerciales". Par exemple, des photos prises à titre gracieux, gravées, pour un usage interne ou très limité, se retrouvent être quelques mois après sur une affiche en 4x3 dans la ville d'à coté... Affiche pas forcément en rapport avec l'évenement en lui-même. Ex: tu a shooté gratos un peu de snowboard pour l'association "des gentils renardaux blancs" l'hiver dernier et tu retrouves par je-ne-sais quel miracle cette photo en affiche pour venter la "Schoups Super Winter Race" de l'hiver d'après, au motif que le jpg a été récupéré d'une manière ou d'une autre, que ta photo illustre bien le sport concerné et que comme personne l'a payé, qu'elle traine quelque part sur un disque dur, et que personne ne sait même plus qui l'a prise, c'est facile, et ça évite d'employer un pro pour faire les tofs d'illustrations.

C'est pour ça que j'attirai l'attention sur l'interet d'un contrat qui stipule précisemment l'usage des images, ce qui est autorisé et ce qui est interdit. Ca "fixe" déjà les idées de toutes les parties. Même si a priori, un photographe est toujours à même de faire valoir ses droits d'auteur, c'est déjà plus compliqué quand c'est fait à la Papa, sans rien d'écrit, ni de signé.

[SRT100]

Certes.
...Même si a priori, un photographe est toujours à même de faire valoir ses droits d'auteur, c'est déjà plus compliqué quand c'est fait à la Papa, sans rien d'écrit, ni de signé.

Toujours compliqué en effet.
J'ai été copié sur des campagnes de pub. J'ai toujours laissé tomber. Trop cher, trop long.
Par contre, pour une image volée dont tu possèdes l'original, facile. Et il est extrêmement rare de voir une image volée pour des emplois grands publics (donc qui rapportent), trop risqué. Tout au plus pour des usages en petits formats sur le web ou en brochures. Les poursuites valent rarement la peine.
Et le web est plein d'images faciles à piquer.
Cela dit, les grandes agences d'images font appel maintenant à des sociétés qui ont développé des softwares de reconnaissance d'images qui screenent le web à la recherche d'images non payées. Ces agences ont augmenté leurs revenus de 30%. Autant dire que le "piratage" s'est banalisé. Piratage d'autant plus facilité qu'il est facile d'accéder à une banque d'image en s'inscrivant comme client et en téléchargeant des images employées pour des usages non prévus.

Pour autant, le photographe lambda n'a pas le temps matériel pour trouver des copies éventuelles de ses images.