pour rester pratique.

quand on est en raw, on a déja un fichier sans défaut. De plus, les modifs et reglages faits sur dpp sont enregistrés sur le fichier lui même. donc, il est toujours facile de reproduire le résultat final.
Perso, le tiff est uniquement temporaire, quand je l'utilise, ce qui est rarissime, pour transferer sur photoshop. il est effacé ensuite. car c'est le psd que je garderai pour avoir les calques et lui aussi ne dégrade pas.
pour l'impression, en enregistrant, à 10-12 en jpeg, les artefacts, il va falloir les chercher. à 1000% ou 2000% peut être. on les trouve quand on enregistre à 2-3 mais pas à 12. il faut rester sérieux. on peut vouloir le meilleur mais il faut mettre des limites.

au final, quand on a le raw, le jpeg sera plus que suffisant. et d'ailleurs, le jpeg issu de dpp fera le double de la taille du jpeg de boitier. preuve s'il en faut que ce fichier est de qualité.

tiff ça rassure, mais en photo nuemrique et petits capteurs, je n'ai pas encore vu de difference. avec des moyens formats, je veux bien croire mais pour nos usages...
raw et jpeg et c'est déja beaucoup de place sur un disque.