Conseil voyage en pays chaud,

[jondalar]

J'avoue ne jamais bien comprendre le concept de ces discussions "pas de sac de marque connue, c'est repérable pour les vols". A mon sens, ça n'a pas de sens (justement ^^), vous n'êtes jamais aussi vulnérable que lorsque vous avez l'oeil collé au viseur et que vous voyez le monde par la petite fenêtre du viseur... Et dans ce cas, on fait quoi? On se passe de faire des photos?

Un sac, c'est un sac, quand on est dans un pays étranger, ou dans une ville connue pour les vols, c'est généralement marqué sur notre tête qu'on est touriste et donc potentiellement intéressant pour les voleurs... Sinon, jusqu'ou on va? On change de voiture pour pas prendre de risque? On change de fringue aussi? On prend son matos, on prend des photos et on fait gaffe à ce qui nous entoure et point barre.

Sinon, niveau sac, moi j'ai un lowepro flipside 400aw qui résout le problème d'ouverture du sac (l'ouverture se fait dans mon dos lorsque je porte le sac), mais rien n'empêchera un voleur déterminé à me braquer... et je vis très bien avec ce risque, je n'en deviens pas parano ^^

[ishoot]

J'avoue ne jamais bien comprendre le concept de ces discussions "pas de sac de marque connue, c'est repérable pour les vols". A mon sens, ça n'a pas de sens (justement ^^), vous n'êtes jamais aussi vulnérable que lorsque vous avez l'oeil collé au viseur et que vous voyez le monde par la petite fenêtre du viseur... Et dans ce cas, on fait quoi? On se passe de faire des photos?

Une petite précision, car un sac de marque connue va certainement inciter un voleur potentiel à "préférer" le touriste avec son sac Lowepro au touriste qui trimbale un sac à dos pourri (renforcé avec du grillage pour résister au cutter) et je peux affirmer que ce n'est pas une légende urbaine.
Quant à se faire dévaliser de force j'ai également vu cela à Cuzco où un voleur entreprenant essayait de se tirer avec l'objectif alors que le touriste était en train de prendre une photo. Des histoires de ce type il y a de quoi en faire un bouquin.
Pas de parano, mais profil bas, les gringos se repèrent à un kilomètre