Je ne sais pas si tu as vu sur vimeo, mais j'ai mis en lignes trois tests qui montrent quelques infos sur les ISO élevés avec le markIII (avec quelques compléments sur le mII ainsi que le piqué)

et


800 est très convenable. 1600 aussi, 3200 et 6400 selon les sources de lumières et les pénombres demanderont un bon denoiser.

Merci d'écrire avec un "j" mon pseudo.

en gros, il faut savoir que les vidéos sont compressées sur une séquence d'images, sur un échantillon de 256 nuances de couleurs primaires (soit 8 bits pour le Rouge, le Vert puis le Bleu). Ce qui visuellement est suffisant mais pas assez du point de vue travail en "détail" des couleurs (quantités de nuances, de teintes, dans les fondus, les vignettages) - les fameuses bandes sur youtube, sur le MP4 de la TNT ou autres...

pour monter, faire ces effets, nous avons la possibilité de passer dans des codecs plus lourds, mais plus "respectueux" des nuances, ouvrant les possibilités à un travail de qualité cette fois-ci sur 10 bits par couleur (ce qui donne plus d'un milliard de combinaisons possibles, et en non "seulement" 16 000 000 (8 bits). Ces codecs travaillent également sur chaque image

le ProRes et le DNxHD - alternative donc sur toute plateforme et soft) travaillent en 10 bits (bien paramètré pour le DNxHD).
Ces préférences ou réglages, se prénomment joliment ProRes 422, 422 HQ, 444, ou DNxHD 185X ou DNxHD 444... c'est comme ça qu'il s'appellent.

Et comme ce sont des codecs, ils s'installent comme on veut et seront utilisé par toute appli qui convertit / lit des vidéos.

Ce n'est bien évidemment que pendant la post-prod que l'on élargit le champ par des codecs 10 bits (et encore plus en RAW 14 ou 12 bits / couleur - encore au dessus - ils portent le joli nom aussi de codecs intermédiaires pour ça. Ensuite, pas le choix : H264 pour lez web.

Et pour info, j'ai fait des études en vidéo et en art en Fac j'ai justé capté que si je ne me tapais pas ces concepts, mes vidéos seraient pourries...